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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Pleasure):
"Une jeune Suédoise débarque à Los Angeles, bien décidée à réussir dans le monde du porno. Film choc qui dénonce la condition des femmes dans cette industrie, avec un jusque-boutisme qui ne conviendra pas à tous." Avoir Alire "Prix du jury fort mérité au dernier Festival de Deauville, l'histoire de Bella Cherry dérange par ses aspects quasi documentaires (...). De selfies avec du sperme chaud sur le visage, en soirées faussement mondaines où chacune ou chacun cherche à se placer, c'est aussi la complicité de la femme dans l'effacement de toute autre existence que par son corps, qui est progressivement mise en avant (...)." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "Pleasure est un premier film passionnant, mais très dur." 20 minutes "Pleasure est une succession de scènes très réalistes, très prosaïques, très crues : à quel moment de son parcours Bella doit-elle envisager tourner des scènes de sodomie ? Et de doubles pénétrations ? Quel sens peut avoir le mot « consentement », désormais brandi comme un sésame sur les tournages, quand toute l'équipe vous attend et que vous ne pouvez en réalité plus reculer ? (...) C'est un film qui tord le bide. Une date dans la représentation à l'écran d'un monde au fond méconnu." Première - Frédéric Foubert "Si le souci d'exhaustivité donne un air très mécanique au récit de Pleasure, Ninja Thyberg et Sofia Kappel s'emparent d'une industrie destructrice et étalent ses vices, pourtant parfois minutieusement dissimulés." Ecran large - Mathieu Jaborska "Rarement l'envers du fantasme et du rêve américain aura été si oppressant." Paris Match "Pleasure est une fiction qui n'en est pas vraiment une, peuplée de gens du milieu qui jouent plus ou moins leurs rôles (à l'exception de la protagoniste)." L'Obs - Nicolas Schaller "Le film, hélas, s'abîme dans des outrances chocs et se distingue avant tout par sa complaisance. Accueilli favorablement dans plusieurs festivals, Pleasure aurait probablement été accusé de tous les maux s'il avait été signé par un homme." Marianne - Olivier De Bruyn "La réalisatrice Ninja Thyberg signe un premier film pseudo-documentaire, voyeuriste et complaisant sur l'industrie du sexe dominée par l'omniprésence des réseaux sociaux." Le Figaro |
Synopsis usuel:
Une jeune suédoise de 20 ans arrive à Los Angeles dans le but de faire carrière dans l’industrie du porno. Sa détermination et son ambition la propulsent au sommet d’un monde où le plaisir cède vite la place au risque et à la toxicité. |
Sortie ciné : 20 octobre 2021 Box office France: 22 458 entrées cinéma |
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