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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie L'Homme qui a vendu sa peau):
"Envoûtant et vénéneux, le nouveau film de Kaouther Ben Hania évoque avec intelligence les ravages d'une forme d'esclavagisme moderne." Avoir Alire "Sur la foi d'une histoire farfelue et kafkaïenne revisitant de manière moderne le mythe de Faust, Kaouther Ben Hania signe un drame acerbe, parfois teinté d'humour noir, d'une intelligence remarquable sous ses allures de brûlot tragique sur la condition des laissés-pour-compte dans notre monde moderne." Mondociné - Nicolas Rieux "La réalisatrice tunisienne propose avec L'Homme qui a vendu sa Peau une œuvre brutale. Son récit a beau être plus convenu que son précédent long-métrage, le quatrième film de la cinéaste n'en est pas moins brillamment traversé par la violence sourde qui se tapit dans les rapports, historiques mais aussi très contemporains, qu'entretiennent l'Orient et l'Occident." Le Bleu du Miroir - Pierre Nicolas "Kaouther Ben Hania convoque plusieurs sujets qu'elle mêle pour mieux en parler. La question des migrants, tout d'abord, notamment syriens (...). Le film prend deux sujets en apparence éloignés l'un de l'autre – d'un côté la misère et la guerre, de l'autre le luxe, le tout-permis, le spéculatif – et en les mélangeant, les fait se questionner l'un l'autre pour finalement donner à voir au spectateur ce qu'ils peuvent tous les deux représenter : l'absurde." Le Mag du Ciné - Sarah Anthony "Pour imaginer cette histoire, la jeune réalisatrice s'est inspirée de "Tim", un Suisse dont le dos avait été tatoué par Wim Delvoye en 2006 et qui s'expose régulièrement. Tim a d'ailleurs été vendu en 2008 à un collectionneur privé… Les questions soulevées par L'Homme qui a vendu sa Peau sont passionnantes. Pourtant, le film sonne toujours un peu faux, notamment dans la description du milieu de l'art contemporain. Sorte de Jeff Koons maléfique, Jeffrey Godefroi est censé être l'artiste le plus puissant au monde, mais ses expos semblent franchement "cheap" [de faible qualité, bon marché]…" La Libre.be - Hubert Heyrendt |
Synopsis usuel:
En 2011, en Syrie, Sam Ali, de condition modeste, déclare sa flamme à la belle Abeer dans un train, et, emporté par son élan, déclame des slogans révolutionnaires. Il est arrêté peu après mais parvient rapidement à s'enfuir du commissariat où il était interrogé. Aidé par sa soeur, il est obligé de prendre la fuite pour le Liban, laissant sur place son aimée, dont sa famille aisée regarde de haut Ali. Un an plus tard, à Beyrouth, Ali constate, impuissant, qu'Abeer a du épouser un homme de sa condition. Il survit désormais en travaillant dans des conditions pénibles. |
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