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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie Le pays où rêvent les fourmis vertes):
"Il faut absolument redécouvrir ce Le Pays où rêvent les Fourmis vertes, œuvre subtile et délicate qui peut être une parfaite porte d'entrée dans l'univers d'Herzog. C'est un film très vivant et dans un même temps presque « minéral », le cinéaste parvenant à nous faire ressentir la présence de la terre, des pierres, de la matière brute du monde sans rien abandonner de l'humanité de ses personnages. Plus serein que contemplatif, à la fois drôle, poétique (toutes les réactions imprévisibles et mystérieuses des Aborigènes) et profondément mélancolique, c'est un film magnifique et touchant dans lequel Herzog brasse habilement les grands thèmes de son cinéma." Dvd Classik - Olivier Bitoun "Le Pays où rêvent les Fourmis vertes est une révolte du monde des rêves contre une civilisation cupide qui s'approprie tout et ne comprend rien." Institut Lumière "Le film, à peine vu, on parle d'écologie, de défense d'une civilisation naufragée (ce qui, d'ailleurs, ne date pas d'aujourd'hui) contre une civilisation de la technologie et du profit. Au diable ces bonnes intentions, encore qu'elles ne soient pas absentes du scénario. L'originalité de cette œuvre qu'on voudrait, qu'on pourrait, réduire à une démonstration écolo-didactique, vient du propre rapport intérieur d'Herzog à son « récit ». (...) En se projetant, lui-même, dans les aborigènes, il a réintégré en l'Australie, la « germanité » de ses rêves et de ses mythes. Cela vient vers la fin, mais c'est préparé, insidieusement, par tout ce qui précède." Le Monde - Jacques Siclier "Herzog a travaillé en accord avec deux tribus d'aborigènes, les Wororas et les Riratjingus. Ces hommes, qui paraissent très conscients de leur situation dans l'Australie moderne, lui ont apporté leur culture et, dans leur manière d'être acteurs, leur intelligence." Le Monde - Jacques Siclier "Benoit Heimermann dans Le Matin du Festival lors du Festival de Cannes 1984 déclare : « L'art d'Herzog relève de la magie dans la mesure où il semble être à l'heure actuelle le seul cinéaste capable de communiquer avec ces êtres décalés, de les mettre en scène, au vrai sens du terme, sans risquer de leur faire perdre leur identité. »" Institut Lumière |
Synopsis usuel:
Au cœur de l'Australie, deux communautés aborigènes vénèrent depuis des dizaines de milliers d’années un territoire sacré. D’après la pensée magique qui les anime, c’est là que les fourmis vertes s’arrêtent pour rêver. Lorsqu’Ayers Mining, une compagnie minière commence à mener des tests géologiques sur ce site dans l’espoir d’extraire de l’uranium, une délégation des deux tribus décide de s’opposer pacifiquement au chantier. Lance Hackett, un géologue employé par la société, est alors contraint de s’improviser comme intermédiaire entre les deux parties. |
Sortie ciné : 11 décembre 1984 |
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