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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Adieu l'ami):
"Malgré quelques invraisemblances, le scénario se déroule fort bien et le récit capte toute notre attention. C'est un film qui se situe dans la tradition des films de casse avec un beau face à face entre Delon et Bronson." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "Bronson et Delon s'affrontent littéralement comme des lions en cage : la scène de bagarre dans les sous-sols déserts, qui les voit en sueur et torse nu, est anthologique (et un plaisir pour les yeux…). Bronson, alors à l'apogée de sa forme physique, en impose naturellement, et vole sans forcer la vedette à Delon." Les Toiles Sauvages - evy "Alain Delon et Charles Bronson rivalisent de testostérone." Le Figaro "Charles Bronston joue les costauds obstinés et encombrants avec humour (...). Alain Delon exécute en virtuose son numéro d'aventurier au grand cœur." Le Monde, 1986 - Jean de Baroncelli "Le climat du film, cet enfermement étouffant dans ce sous-sol labyrinthique désert, et le jeu des acteurs principaux emportent l'adhésion. Une véritable tension habite le film, non simulée, car les deux stars étaient véritablement continuellement en compétition, au grand désespoir du réalisateur. La relation entre les deux hommes est ainsi bien rendue, entre affrontement et amitié virile." Les Toiles Sauvages - evy "Pour le côté féminin, c'est la très jolie Brigitte Fossey qui a un petit rôle mais assez important tout de même, son personnage étant une des clés du film. Sa façon de jouer n'est pas encore très professionnelle, on la sent un peu hésitante, voir timide, elle deviendra une meilleure actrice les années suivantes." Le Monde des Avengers "Adieu l'Ami est un polar à la mécanique bien huilée." Télé 7 jours "Le film regorge de scènes-cultes. Il y a le « Yeah ! » que pousse Bronson à intervalles réguliers, le strip-tease dans un parking, le manteau léopard d'Olga Georges-Picot (dans la vie, elle se suicidera comme ici : en se jetant par la fenêtre), la musique lancinante de François de Roubaix. La rengaine « Pa-pa-partie » qui rythme les parties fines chez les riches bourgeois. Il y a aussi le jeu qui consiste à mettre le plus de pièces de cinq francs dans un verre déjà plein à ras-bord (...). Tous les spectateurs s'y sont essayés en sortant du cinéma. Des films restent pour moins que ça." Le Figaro - Eric Neuhoff "[Notons] l'extrême invraisemblance et les complications du scénario de Sébastien Japrisot. Adieu l'Ami est un film d'aventures (même si l'aventure tend à devenir « psychologique ») et, dans un film de ce genre, un minimum de crédibilité est nécessaire. Or, du début à la fin de l'histoire ce minimum est difficilement atteint." Le Monde, 1986 - Jean de Baroncelli "Jean Herman met en scène des rapports de force assez simplistes. Les hommes sont des machos puissamment virils, et les femmes, de jolies poupées, manipulatrices ou soumises (…)." Les Toiles Sauvages - evy "En ce qui concerne l'action, elle se limite durant un long (trop long) moment aux efforts qu'accomplissent les deux protagonistes pour ouvrir un coffre-fort, puis pour sortir d'un caveau (...). Tout change lorsque se déclenche l'enquête policière et que Propp (Bronston) et Barran (Delon) se jurent de ne jamais révéler aux " flics " qu'ils se connaissent. A cet instant, comme par miracle, le film trouve son ton, son rythme, sa motivation profonde. Un peu guindée et précieuse jusqu'alors, la mise en scène de Jean Herma s'aère, devient nette et précise. On se moque des explications plus ou moins convaincantes que nous propose le scénariste : seul nous intéresse le comportement des deux hommes. Au fond, le vrai film est celui de cette dernière partie, le reste n'étant que préambule. Et l'on regrette qu'il soit si court." Le Monde, 1986 - Jean de Baroncelli "Avant de se consacrer pleinement à l'écriture au milieu des années soixante-dix, Jean Vautrin a réalisé quelques courts et longs métrages sous son vrai nom, Jean Herman. Adieu l'Ami est le plus connu d'entre eux, un film franco-italien avec un acteur américain, Charles Bronson qu'il a fallu convaincre de tourner dans un film européen. Paul Kohner, l'agent de Charles de Bronson, a raconté que le producteur a accroché l'acteur en lui disant qu'aux Etats-Unis, les plus gros cachets et la célébrité allaient aux acteurs beaux gosses alors qu'en Europe, le public était plus intéressé par la personnalité que par le physique. (...) Adieu l'Ami n'eut qu'une distribution limitée aux Etats-Unis mais, en revanche, fut un grand succès en France ce qui encouragea Charles Bronson à continuer de tourner dans des films européens, notamment Il était une fois dans l'Ouest de Sergio Leone (1968) et Le Passager de la pluie de René Clément (1970), deux films qui le propulsèrent au rang de star." L'Oeil sur l'Ecran - Lui |
Synopsis usuel:
Dino Barran, un médecin légionnaire, se transforme en perceur de coffres forts pour aider la femme d’un homme qu’il a tué accidentellement à remettre à leur place des documents compromettants. Pour l’occasion, il doit faire équipe avec Franz Propp, un légionnaire qui lui voue une haine féroce. |
Sortie ciné : 14 aout 1968 Box office France: 2 639 713 entrées cinéma |
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