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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Les Vampires):
"Premier grand film gothique italien de l'après-guerre, Les Vampires bénéficie de décors superbes et d'une photographie magnifique (...). Un petit classique du genre et une date dans le genre." CinéDweller - Virgile Dumez "Les Vampires est une œuvre fascinante, fusionnant avec bonheur le feuilleton début de siècle, le mélodrame et le film d'horreur, et plastiquement envoûtante (...)." Dvd Classik - Otis B. Driftwood "Les Vampires est un vrai film charnière du fantastique mondial qui aura une descendance considérable sur diverses cinématographies (...). Pour le cinéma italien c'est enfin l'affirmation du fantastique face aux genre et écoles dominants comme le néoréalisme ou la comédie, avec une véritable déferlante du gothique italien dans les années à venir. La trame policière qui se mêle au récit surnaturel anticipe également les intrigues plus tortueuses du « giallo », notamment les quelques séquences d'enlèvements des jeunes filles dont le suspense, la tension palpable et menaçante annonce des moments du même style en plus sanglant des années plus tard." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "Servi par des décors somptueux et une très belle musique, tour à tour envoutante puis inquiétante, Les Vampires bénéficie également d'un casting de qualité (...). Dans un double rôle, Gianna Maria Canale, l'une des plus belles actrices du cinéma italien, prouve aussi que c'est une bonne actrice. C'est Riccardo Freda qui la fit débuter à l'écran, à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, avant de se marier avec elle." Psychovision "Malgré son titre très évocateur, ce premier essai gothique ne propose aucune canine ensanglantée à l'horizon puisque l'intrigue reprend en réalité l'histoire de la comtesse hongroise Báthory (...)." CinéDweller - Virgile Dumez "Inspiré du mythe d'Elizabeth Bathory qui se servait du sang de ses jeunes victimes pour des bains censés préserver une jeunesse et une beauté éphémères, le thème sous‐jacent du vampirisme fait ici aussi référence au désir d'immortalité et de fraîcheur éternelle d'une femme vieillissante. Pas question de monstres aux dents acérés, le film se veut plus proche du long métrage Les Yeux sans visage de Franju (1959) que du Nosferatu de Murnau. La science œuvre pour faire le mal, elle devient un instrument de peur. Les outils de torture présents dans Les Vampires nous rappellent sans cesse le sadisme et la perversité de l'être humain, liés à une intelligence toute rationnelle." Il était une fois le cinéma "En transposant le mythe du vampire dans un contexte contemporain, Riccardo Freda se démarque de ses prédécesseurs. Il atténue aussi l'aspect horrifique de son oeuvre, privilégiant un style néo-réaliste, dans lequel l'élément fantastique est au service de l'histoire, et non l'inverse." Psychovision "L'histoire est assez basique et les conclusions de l'enquête ne nous étonnent plus de nos jours car cette histoire a été largement galvaudée depuis. Toutefois, sachons reconnaître la parfaite conduite du récit par des auteurs qui ont l'art de la concision, évitant au spectateur contemporain de s'ennuyer." CinéDweller - Virgile Dumez "Les Vampires est dirigé avec un budget modeste par Riccardo Freda pour la grande compagnie Titanus. Au bout de dix jours de tournage, Freda se dispute avec les producteurs et abandonne le plateau. On charge alors Mario Bava d'achever le film en deux jours, avec des moyens dérisoires. Puis Freda revient superviser le montage." Devil Dead - Emmanuel Denis "Beaucoup ont cru déceler dans ce Les Vampires la paternité prédominante de Bava sur Freda. C'est assurément injustifié, tant le film appartient en propre aux codes narratifs de Freda : rythme syncopé, hypertrophie gothique dans la composition des plans. Si l'on en croit Jacques Lourcelles, proche de Freda, Bava aurait en fait tourné quelques scènes, qu'il juge parmi les plus ternes du film (...)." Dvd Classik - Otis B. Driftwood "De par ses vicissitudes de tournage, Les Vampires ne peut sans doute prétendre au statut de pur chef d'œuvre. Le dénouement, quelque peu bâclé, atteste du fait que Freda n'a pu garder le contrôle de son projet. De même, l'interprétation du falot Dario Michaelis (Pierre Valentin) embourbe par moment le récit : difficile de croire que ce bellâtre puisse susciter une passion d'entre les âges..." Dvd Classik - Otis B. Driftwood |
Synopsis usuel:
Paris. Un tueur en série s’en prend à des jeunes femmes qu’il vide de leur sang. Tandis que la police s’enlise, le journaliste Pierre Valentin mène sa propre enquête. Au contact d’une amie de la première victime, il apprend que toutes ont été suivies par un drogué. Sa piste le mène au Dr Du Grand dont les expériences sur la vie éternelle pourrait expliquer que sa supposée nièce Gisèle affiche une jeunesse insolente… |
Les Vampires est un film en noir et blanc. Sortie ciné : 23 octobre 1957 Box office France: 323 775 entrées cinéma |
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