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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Sept secondes en enfer):
"John Sturges signe son dernier très bon film. Il reprend l'histoire là où elle s'était arrêtée, dans son film de 1957 Règlement de comptes à O.K. Corral. Il ne fait pas appel au même casting (...). Le casting est tout à fait remarquable, des trois principaux rôles aux seconds rôles des hommes de main de Ike Clanton. James Garner est impérial et Jason Robards fait un Doc Holliday d'anthologie." Rue du Ciné "Le rythme est lent, l'action est totalement dédramatisée et le résultat se révèle être un western sec et dépressif au scénario certes austère et anguleux mais néanmoins très intéressant sur la fameuse « Law and Order » ainsi que sur la justice - à travers notamment plusieurs scènes de procès -, le film narrant avant tout une vengeance dissimulée sous couvert de la loi et au cours de laquelle son plus digne représentant, Wyatt Earp, la bafoue allègrement." Dvd Classik - Erick Maurel "Le film commence avec des airs légalistes, avec une nuée de shérifs, de marshals, de prévôts, qui discutent sur la légalité de la réplique à donner à la fusillade de O.K. Corral… pour finir en vendetta pure et simple." Rue du Ciné "Sans avoir eu la tentation de lorgner vers le western italien qui sévissait à l'époque - la violence est bien plus sèche que sanguinolente -, John Sturges enrobe son film dans une sorte de classicisme crépusculaire comme on pouvait le trouver dans le sublime Coups de feu dans la Sierra de Sam Peckinpah. Une ambiance crépusculaire mais un crépuscule grandement voilé de nuages qui fait que l'on suit cet âpre western aux personnages de "morts-vivants" avec un certain détachement et que cette intéressante et dense réussite est cependant loin d'atteindre le niveau de ses westerns des années cinquante. Quoi qu'il en soit, Règlement de comptes à O.K. Corral et Sept Secondes en Enfer forment un passionnant dytique, antinomique tant sur le fond que sur la forme, et que pour cette raison il serait dommage de ne pas regarder l'un sans l'autre, le romantique puis le désenchanté, le flamboyant puis le rigoureux. Quel que soit l'avis de chacun, il est bon de savoir que John Sturges était très fier de son western qu'il considérait comme l'un de ses meilleurs." Dvd Classik - Erick Maurel "Si l'on peut souligner l'excellente prestation de Jason Robards, en tuberculeux désabusé, qui défie la médecine, et préfère le whisky à toute autre médication, on peut aussi constater la fadeur de l'interprétation de James Garner, et la faiblesse du personnage confié à Robert Ryan, un comble pour cet excellent acteur, toujours à l'aise dans les rôles de méchants, et qui passe ici presque inaperçu. Tourné en 1967, quand le western américain peinait à se renouveler, celui-ci hésite probablement trop entre classicisme et modernité, en perdant un peu sur les deux tableaux. Maintenant, tel quel, il reste tout à fait honorable (...)." Avoir Alire - Fabrice Prieur |
Synopsis usuel:
Tombstone, 1881. Le marshall Wyatt Earp et son allié, le joueur de poker Doc Holliday, sortent victorieux du règlement de compte à O.K. Corral. Une victoire qui, au premier, laisse un goût amer, son frère ayant été tué par l'un des membres du clan tenu d'une main de fer par Ike Clanton. Ivre de vengeance, le marshall entreprend aussitôt une expédition punitive, accompagné d'un Doc Holliday aussi désabusé que gravement malade… |
Sortie ciné : 24 juillet 1968 Box office France: 507 783 entrées cinéma |
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