|
|
|
vod
dvd
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Innocents - The Dreamers):
"Le naïf américain, interprété brillamment par Michael Pitt, se laisse aller à découvrir sa sexualité, et s'inquiète de celle des deux autres. L'esthétique du nu est assez troublante, et le spectateur, complice des jeux libertins et inconscients de ces post - adolescents, qui vivent comme dans de films et qui les intègrent dans leur quotidien, n'éprouve jamais de gêne." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "Afin d'être à l'aise avec les scènes de nudité, le trio d'acteurs ont passé du temps ensemble nus avant le tournage pour s'y habituer." Disney Plantet "(...) il y a la magnifique et sémillante Eva Green, pulpeuse et évanescente, véritable révélation (...)." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "Bertolucci ancre son rêve de mai en février 1968, lorsqu'André Malraux, ministre de la Culture, tenta de remplacer Henri Langlois à la tête de la Cinémathèque française. Tollé général, mobilisation internationale, manifs. Innocents - The Dreamers s'ouvre sur ce premier beau geste de contestation. Cette entrée n'est pourtant pas le meilleur du film. La juxtaposition d'archives d'époque et de fiction contemporaine est plus tape à l'oeil qu'émouvante, même si c'est Jean-Pierre Léaud qui sert de passe-plat entre le passé et le présent. Et puis, soudain, le film se redresse et déploie ses ailes. (...) La politique des extraits devient jubilatoire. Comme une radio clandestine qui diffuserait des messages poétiques pour ceux qui savent encore ce que résister veut dire, The Dreamers fait office de « sanglot long des violons »." Libération - Gérard Lefort "Précédé par une réputation sulfureuse, Innocents - The Dreamers se révèle très rapidement être une approche artificielle et superficielle de l'éveil sexuel et politique de trois jeunes, dans la tourmente de mai 68. Le grand Bertolucci ferait ici presque l'effet d'un vieux pervers, égrainant ses fantasmes en bon cinéphile, c'est à dire à coups de références multiples et (trop) appuyées à ses maîtres de la Cinémathèque." Avoir Alire - Sophie Lecerf "La relation fraternelle est beaucoup trop fusionnelle proche de l'obsession malsaine. Ils dorment nus ensemble, prennent un bain ensemble, se touchent entre eux… bref, une sorte de lien incestueux mais qui ne sert pas à grand chose à part choquer." Disney Plantet "Bernardo Bertolucci ne donne pas une réalisation qui mérite le détour. C'est très académique à part de rares plans un peu plus recherchés avec le travail sur les miroirs. Le reste, il donne une forte sensualité dans les scènes sexuelles et use des gros plans explicites mais sans un apport artistique notable. Le rythme est assez lent mais ne donne pas non plus une raison narrative utile. La bande originale ne relève pas plus le niveau en usant du registre musical français à plusieurs reprises juste pour la « french touch ». Paris n'est même pas vraiment montré vu qu'on passe quasi tout notre temps dans un appartement. Enfin, les quelques extraits de films du patrimoine donnent un certain lien avec le scénario mais sont très déséquilibrés." Disney Plantet "Ni la mise en scène, ni le scénario, ni même les jeunes acteurs à qui on prédit pourtant le destin de stars bohèmes, n'épargneront le spectateur de l'ennui. Isabelle est belle. Isabelle fume. Isabelle provoque. Isabelle fait la révolution. (...) Commence alors un ménage à trois où tous jouent des interdits incestueux. La belle affaire. Tandis que dehors il tombe des pavés, qu'on a encensé l'amour contre la guerre, Bernardo Bertolucci nous fait un film sur l'inceste, passant totalement à côté de son sujet premier : mai 68." Première - Fluctuat |
Synopsis usuel:
En mai 68, Matthew, un jeune américain, fait ses études à Paris. Il se lie d'amitié avec Isabelle et son frère jumeau Théo, deux français de son âge qui partagent sa passion du cinéma. Ses nouveaux amis invitent Matthew à partager leur appartement. Dans les rues de la capitale, les barricades commencent à se dresser. En marge des événements, tous trois vont vivre leur propre printemps en se livrant à des jeux amoureux. |
Sortie ciné : 10 décembre 2003 Box office France: 79 849 entrées cinéma |
|
|