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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray The Northman):
"L'histoire est assez simple en soi, un simple récit de vengeance, tout ce qu'il y a de plus classique. (...) au fond, l'intérêt de The Northman n'est absolument pas son scénario, très basique, mais sa mise en scène. Robert Eggers s'est fait plaisir, et mélange un style de réalisation mixant à la perfection l'ultra-réalisme et l'onirisme. Le bougre nous gatte, avec des plans d'une composition magistrale et majestueuse à chaque instant, certains relevant quasiment plus de la peinture que du cinéma." Abus de Ciné - Ray Lamaj "Après le non moins génial The Lighthouse, Robert Eggers s'affirme comme un immense réalisateur avec une œuvre tout autant épique, baroque que fantastique." Avoir Alire "The Northman consacre la vision hautement cinématographique du cinéaste Robert Eggers qui signe ici le meilleur film de vikings de l'histoire. A voir impérativement sur grand écran." Ciné Dweller - Virgile Dumez "Mêlant fréquemment réalisme et onirisme – notamment à travers une forte présence animalière – Eggers multiplie les plans séquences malins, ose avoir recours à quelques plans gore et martèle sa bande sonore de percussions intrusives qui renforcent encore un peu plus l'impression de violence physique et mentale qui émane du film. A cheval entre film d'auteur et grande fresque populaire, The Northman est avant toute chose un objet cinématographique enthousiasmant qui redonne foi dans le septième art." Ciné Dweller - Virgile Dumez "Au-delà de sa beauté plastique indéniable, The Northman est un pur film de mythologie assumé et revendiqué, qui embrasse avec une vigueur salvatrice l'universalité de sa quête de vengeance. Robert Eggers revient ausculter nos récits fondateurs, épaulé par la bestialité d'un Alexander Skarsgård impressionnant. Voilà une proposition rare, et à choyer." Ecran large - Antoine Desrues "La tragédie n'est qu'un prétexte pseudo-intello pour aligner des plans hyperléchés façon National Geographic et des scènes de batailles ultragore et complaisantes qui n'apportent rien à la dramaturgie. Elles permettent au cinéaste de mettre en avant les torses musclés de ses interprètes. Dans ces moments-là, on ne sait plus à quel degré de parodie crypto-gay se livre l'auteur surévalué de The Witch. Ouverture sentencieuse, jeu inexpressif de Nicole Kidman, délires visuels d'un directeur de la photographie visiblement sous opiacés… Et tout cela pour la modique somme de 90 millions de dollars. La crise du cinéma ? Quelle crise ? " L'Obs - Xavier Leherpeur "C'est le propre des films sans concession : ça passe ou ça casse. (...) D'une puissance graphique et d'une force d'incarnation dingues, sa mise en scène traduit l'essence de cet univers médiéval en pure matière cinématographique. A mille lieues des bouillies numériques à la « Game of Thrones ». Ça hurle, ça sue, ça saigne sur deux heures et quart. Radical et fascinant." L'Obs - Nicolas Schaller "Cette histoire de vengeance longtemps mûrie par un guerrier solitaire et mutique est trop classique pour surprendre (...)." Première - Sylvestre Picard "Fourre-tout empesé, qui confond coquetterie et style, ce Conan sous Lexomil témoigne des errements d'un cinéma américain incapable de penser le divertissement, ou de divertir en pensant. Aussi creux que laid." Ecran large - Simon Riaux "Si The Northman embarque le spectateur dans une expérience audiovisuelle inédite que Robert Eggers peut signer sans prétention comme étant son film le plus ambitieux jusqu'à présent, il a tendance à laisser toute part d'humanité sur le bas-côté. La prestation d'Alexander Skarsgard demeure hélas à la surface des stéréotypes masculins dont la force réside dans la musculature. Au-delà d'une bestialité nécessaire à l'élaboration du personnage, était-ce trop demander de voir scintiller de temps en temps une étincelle d'humanité dans l'œil du héros, accablé par un mal qui n'est pas nommé : une profonde tristesse." Le Bleu du Miroir - Eleonore Oldwood |
Synopsis usuel:
Le jeune prince Amleth vient tout juste de devenir un homme quand son père est brutalement assassiné par son oncle qui s’empare alors de la mère du garçon. Amleth fuit son royaume insulaire en barque, en jurant de se venger. Deux décennies plus tard, Amleth est devenu un berserkr, un guerrier viking capable d’entrer dans une fureur bestiale, qui pille et met à feu, avec ses frères berserkir, des villages slaves jusqu’à ce qu’une devineresse lui rappelle son voeu de venger son père, de secourir sa mère et de tuer son oncle. |
Sortie ciné : 11 mai 2022 Box office France: 359 028 entrées cinéma |
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