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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie Master Cheng):
"Mika Kaurismäki signe un « feel-good movie » culinaire et romantique." Le Temps "Cheng ne parle pas finnois, Sirkka ne parle pas mandarin : il ne leur reste donc que l'anglais pour communiquer, ce qu'ils feront par le truchement d'un anglais approximatif. Ce n'est donc ni les dialogues parcimonieux ni la présence de villageois introvertis et taiseux qui font ce film. En effet, l'essentiel ne passe pas par le verbe dans Master Cheng ; Mika Kaurismäki a choisi de mettre l'attention sur le son et l'image. Tout au long du film, les spectateurs sont portés par la beauté des paysages, mis en valeur par une photographe lumineuse. Kaurismäki peaufine avec méticulosité l'esthétique tant visuelle que sonore." J : Mag - Firouz E. Pillet "Pour contrebalancer la platitude du scénario, qui épuise son potentiel dans le premier tiers du film, il aurait fallu un peu plus de magie. Elle se sent pourtant en creux, dans les personnages secondaires loufoques, les paysages immenses, voire même dans un certain talent du réalisateur à cadrer ses scènes comme des tableaux." Ciné Feuilles - Adèle Morerod "Master Cheng est un divertissement romantique touchant qui ne laissera peut-être pas un souvenir inénarrable, mais qui, avec beaucoup de légèreté, laisse un petit goût de bonheur en bouche." Cinéman |
Synopsis usuel:
Suite au décès de sa femme, Cheng, un chef cuisiner à Shanghai, se rend à Pohjanjoki, un village reculé de Laponie, avec son jeune fils, à la recherche d’un vieil ami. Mais, sur place, personne ne connaît cet homme. Sirkka, la jeune propriétaire du restaurant-bar local, leur propose de les héberger chez elle. Quand débarque un groupe de touristes chinois tombés en rade, Cheng propose à Sirkka de l’aider en prenant en main la cuisine du restaurant. Grâce à ses plats raffinés, il devient vite très apprécié des villageois. Mais son visa arrive à expiration… |
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