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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Le Dernier rivage):
"Avec Le Dernier Rivage, Stanley Kramer n'a pas recours à des explosions ou autres effets spéciaux dévastateurs. La finalité « fin du monde » ne l'intéresse pas en soi, ce n'est qu'un prétexte pour explorer les angoisses inhérentes aux êtres humains. Comment ces personnages, qui finalement pourraient représenter tout un chacun, appréhendent-ils leur fin annoncée ? Que faire quand il n'y a plus rien à attendre ? La palette de personnages que met en scène Stanley Kramer démontre la déchéance d'un état d'esprit face à la totale impuissance d'un corps." Il était une fois le cinéma "Des immeubles dévastés par la bombe, le film n'en présentera pas, préférant laisser planer l'invisible radioactivité et ses lentes conséquences. Ce parti pris peut sembler, aujourd'hui, un peu décevant puisque nous avons été habitués depuis à voir des destructions massives sur grand écran. Mais cette représentation dénuée de sensationnalisme fait justement la force de la dernière partie du film." Devil Dead "Oeuvre furieusement mélancolique, Le Dernier Rivage refuse le spectaculaire ou l'outrance (nous ne sommes pas dans un film catastrophe), pour cibler uniquement le coeur de ses protagonistes. Et c'est magnifique." Home Pop Corn - JamesDomb "La rigueur et la sensibilité du scénariste participent à l'immense réussite du Dernier rivage, vibrante introspection de l'âme humaine au moment où les derniers êtres sont sur le point de disparaître." Home Pop Corn "Le film possède un certain nombre de défauts et de longueurs considérables mais la mise en scène fait preuve d'atouts non négligeables, notamment dans le traitement de ses personnages et la manière dont Stanley Kramer étudie l'évolution de la dévastation psychologique qui les atteint chacun progressivement." Il était une fois le cinéma "Saluons donc comme il convient l'honorable propos de Stanley Kramer. Mais, cet hommage ayant été rendu au civisme humanitaire de l'auteur, force nous est de constater qu'il n'a tiré qu'un médiocre parti du plus terrible des sujets. (...) les personnages de Stanley Kramer acceptent avec un flegme admirable la terrible menace qui pèse sur eux. Leur comportement reste celui de gens de bonne compagnie, soucieux de ne point enfreindre les conventions sociales, ne s'enivrant et ne s'étourdissant que dans la mesure où ils avaient l'habitude de le faire, et ne se posant apparemment aucune question sur ce qui vient d'arriver au monde et sur ce qui les attend. Je ne dis pas que cette attitude psychologique soit foncièrement fausse, mais Stanley Kramer la généralise tellement qu'elle finit par paraître invraisemblable." Le Monde - 1959, Jean de Baroncelli "Dénonciation des dangers nucléaires, ce film accumule hélas les lourdeurs. (...) rien ne vieillit plus mal que ces plaidoyers que les bonnes intentions ne suffisent pas à sauver : le cinéma engagé s'embourbe souvent dans une démonstration abstraite et oublie d'incarner par des personnages les idées défendues. Hélas, c'est encore le cas avec ce Dernier Rivage : la première heure en particulier est proprement insupportable de bavardages pompeux ou de dialogues sirupeux. On est triste d'ailleurs de voir une telle distribution (Gregory Peck, Ava Gardner, Fred Astaire et Anthony Perkins, pas moins ! ) proférer des répliques ineptes ou adresser des regards dans le vide qui se veulent sensibles mais ne sont que niais." Avoir Alire - François Bonini |
Synopsis usuel:
Une guerre nucléaire mondiale a ravagé la planète et l’Australie est le dernier pays épargné. Mais chacun sait que les radiations atomiques se rapprochent. En attendant une mort certaine, les survivants tentent de profiter des derniers mois qu’il leur reste. |
Le Dernier rivage est un film en noir et blanc. Sortie ciné : 18 décembre 1959 Box office France: 1 145 529 entrées cinéma |
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