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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Rifkin's Festival):
"Rifkin's Festival est un marivaudage existentiel à la fois anachronique et folklorique." Paris Match "Woody Allen rend hommage aux cinéastes qu'il a admiré au cours de sa carrière dans Rifkin's Festival." 20 minutes - Caroline Vié "Rifkin's Festival est peut-être le film dans lequel le cinéaste exhibe le plus frontalement sa cinéphilie, ne cessant de l'intégrer sous forme de pastiches mentaux qui servent de commentaire sarcastique à la réflexion constante de son protagoniste – lui-même de nouveau un double évident de Woody. S'y croisent ainsi Citizen Kane de Welles, Jules et Jim de Truffaut, Un homme et une femme de Lelouch, 8 ½ de Fellini, sans oublier son maître absolu Bergman qui a ici droit au double traitement de faveur avec un décalque de Persona en suédois sous-titré ( ! ) et une parodie finale du Septième Sceau avec Christoph Waltz sous la cape noire de la Grande Faucheuse joueuse d'échecs ! Le vrai gros plaisir de ce nouveau film est à chercher là-dedans, dans cette sensation d'un « Woody's festival » organisé par un vieux maître qui, n'ayant plus rien à prouver depuis longtemps, s'amuse avec ses aïeux en les convoquant avec humour et mélancolie." Abus de Ciné - Guillaume Gas "Le marivaudage est plutôt quelconque, sans grâce, entrecoupé de séquences lourdaudes où les personnages rejouent des classiques du cinéma (une très mauvaise idée). Cette impression de pilotage automatique n'empêche pas Rifkin's Festival d'être régulièrement dynamité par des saillies teigneuses, vachardes, parfois marrantes, souvent amères, sur le petit monde du septième art." Première - Frédéric Foubert "Le plaisir des bonnes répliques (« Tu ne mourrais même pas d'amour ? – Je préfère mourir de rien du tout. Ce qui comprend la vieillesse, la maladie et l'étouffement par un bagel ») et des références (le jeu d'échecs avec la Mort) est bien là. Les fans seront contents, les autres sont dubitatifs. L'humour mélancolique, nous, on est client." L'Obs - François Forestier "Si la trempe irrésistible de Woody Allen est perceptible dès la première séquence, cette énième variation des errements amoureux et psychanalytiques du cinéma manque cruellement d'imagination et de rythme." Avoir Alire |
Synopsis usuel:
Un couple d’Américains se rend au Festival du Film de Saint-Sébastien et tombe sous le charme de l’événement, de l’Espagne et de la magie qui émane des films. L’épouse a une liaison avec un brillant réalisateur français tandis que son mari tombe amoureux d’une belle Espagnole. |
Sortie ciné : 13 juillet 2022 Box office France: 89 058 entrées cinéma |
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