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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd No hard feelings - Le Monde est à nous):
"Quand on pense qu'un des premiers (et à ce jour un des meilleurs) films sur la vie des immigrants de la deuxième génération, My Beautiful Laundrette de Stephen Frears (...) remonte à 1985 et aux années Thatcher, on se dit qu'il est bien triste qu’il n’y ait pas eu davantage de travaux explorant en même temps l’homosexualité et les questions raciales. (...) Ce vide semble avoir été enfin plus ou moins comblé par l’arrivée de No hard Feelings dans la section Panorama du 70e Festival de Berlin, au terme duquel le film a décroché le Teddy Award de l'année." Cineuropa "C'est un titre tellement riche en questions problématiques – l’homosexualité, la famille, les réfugiés, la migration et l’amour – qu’il aurait facilement pu tomber dans un infernal écueil mélo, mais au lieu de cela, Shariat se pose en réalisateur porteur de l’avenir du cinéma queer, avec une histoire sur les barrières qui s’opposent à l’assimilation culturelle." Cineuropa "Pour son premier film (semi autobiographique) Faraz Shariat fait preuve d’un vrai talent d’écriture pour slalomer entre réalisme vif et flâneries sensuelles. On retrouve d’ailleurs cette générosité dans la mise en scène, elle-même particulièrement sensorielle et émouvante." Le Polyester - Gregory Coutaut "Sans être un film-à-sujet, No hard Feelings dégage une réelle force politique dans sa façon de superposer l’instabilité des vécus propres aux personnes lgbt marginalisées et des immigrés en situation irrégulières." Le Polyester - Gregory Coutaut |
Synopsis usuel:
Fils d’Iraniens exilés en Allemagne, Parvis profite pleinement de la vie dans sa petite ville de Basse-Saxe. Cependant, il continue d’y être considéré comme un étranger, notamment par les hommes qu’il rencontre sur Grindr. Après avoir été surpris en train de voler à l’étalage, il est condamné à des travaux d’intérêt général dans un centre pour réfugiés. Il y rencontre Amon et sa soeur Banafshe, qui ont fui l’Iran. Sans papiers et sans visa, ils risquent à tout moment l’expulsion. |
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