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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray La Cité de la Violence):
"Commençons par dire les qualités du film : Une scène d'ouverture qui commence à tombeau ouvert. (...) Charles Bronson, avec son rôle de tueur au sang froid, est dans son registre et il y excelle. (...) Jill Ireland a un joli talent pour jouer les femmes fatales. La musique est signée Ennio Morricone." Rue du Ciné "Ce film vient après Le passager de la pluie de René Clément. Il marque le renouveau de la carrière de Charles Bronson en Europe : il atteignait cependant déjà la cinquantaine. C'est le moment où il devient une vedette internationale, orientée vers les films d'action. Mais en même temps il s'inscrit dans cette longue liste de films italiens qui prennent pour héros des bandits ou des tueurs. Volontiers cyniques, ces films ne s'embarrassent guère de vraisemblance et de psychologie. Ça tombe bien parce que la psychologie ça n'intéresse pas vraiment Charles Bronson." Alexandre Clément "Le titre, qu'il soit en français ou en italien, n'est pas très heureux. Car justement la ville de La Nouvelle Orléans n'est pas filmée comme étant une ville dangereuse, violente ou pervertie. Le film est juste une histoire de règlements de compte. Même l'emprise de la mafia sur la ville n'est pas patente." Rue du Ciné "L'interprétation est adéquate au propos. Charles Bronson est impavide, le sourire en coin, il se regarde sombrer. On peut aimer ce style de jeu. C'est tout de même bien sommaire. Jill Ireland a un jeu plus nuancé, ce qui n'est pas un exploit. Elle montre les fesses au bon moment. C'est à partir de ce film qu'elle sera très souvent associée avec Charles Bronson, son mari, et ce n'est qu'avec lui qu'elle atteindra une certaine renommée en tant qu'actrice. Mais elle n'est pas mal du tout dans ce film. (...) Plus étonnant est la participation de Michel Constantin à ce film. Il joue le rôle d'un drogué dont les cheveux sont teints. C'est lui qui donne un aspect étrange à un film qui en manque par ailleurs pas mal." Alexandre Clément "Malgré ses indéniables qualités, dont la lancinante BO d'Ennio Morricone n'est pas des moindres, La Cité de la Violence demeure une série B au scénario faiblard, plombé par des longueurs rédhibitoires (l'interminable séquence sur le circuit automobile, les poursuites en voiture signées Rémy Julienne), mais sauvé par ses cadrages très ‘western', ses paysages du Sud des États-Unis et la présence minérale de Bronson en pleine possession de ses moyens physiques." Le Blog du West "L'histoire est des plus sommaires. (...) Bronson est transparent. (...) C'est un film noir qui sonne un peu creux tout de même, mais il reste animé par un rythme soutenu et le plaisir de se ressourcer aux débuts des années 1970." Alexandre Clément |
Synopsis usuel:
Tandis qu’il circule en voiture avec sa compagne Vanessa, le tueur à gages Jeff Heston tombe dans un piège. Blessé, il échoue en prison. Libéré, il ne poursuit désormais plus qu’un double objectif : se venger de ceux qui l’ont trahi et retrouver celle qu’il aime. Sa croisade sanglante débute à la Nouvelle Orléans où la mafia locale l’attend de pied ferme… |
Sortie ciné : 16 octobre 1970 Box office France: 1 122 678 entrées cinéma |
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