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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Couleurs de l'incendie):
"Malgré la mise en scène assez classique, Clovis Cornillac réussit son coup grâce à l'écriture de Pierre Lemaitre aussi haletante qu'étincelante." Avoir Alire "Le gros atout du film réside certainement à la fois dans l'épaisseur de ses personnages et dans le casting retenu pour interpréter chacun d'entre eux. Benoit Poelvoorde joue avec justesse les éconduits aigris, Fanny Ardant excelle en cantatrice au dessein insoupçonné (livrant à la fin l'une des scènes les plus simples et intenses du film), Léa Drucker gagne en épaisseur au fil du récit, représentant une certaine perte d'innocence (...)." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "C'est (...) réussi dans le registre du cinéma populaire, grâce à la générosité de la mise en scène, au goût pour le spectacle et à l'amour des actrices et acteurs." L'Obs - Xavier Leherpeur "On ne va pas mentir. La scène inaugurale des Couleurs de l'incendie fait craindre le pire. (...) Tout y sonne toc. Soit… le contraire de ce qui va suivre. (...) Les rebondissements sont parfaitement orchestrés, la mise en scène soignée et discrète loin du tumultueux geste inaugural (malgré des maladresses notamment dans la manière de faire vivre les scènes de la cantatrice campée par Fanny Ardant), l'interprétation impeccable (...)." Première - Thierry Chèze "Si l'illusion n'est pas toujours au point pour le personnage de cantatrice qu'interprète Fanny Ardant, il reste que, dans l'ensemble, Couleurs de l'incendie est un film aussi captivant que soigné." La Presse.ca - Marc-André Lussier "Clovis Cornillac croque comme une grande fresque d'époque, un vrai morceau de cinéma populaire certes pas dénué de quelques couacs, mais d'une humanité bouleversante." Fucking Cinéphiles - Jonathan Chevrier "Cette célébration du courage féminin et des petites gens n'a d'autre ambition que d'être un parfait spectacle populaire, et c'est cela, justement, qui est si plaisant" Telerama - Guillemette Odicino "Suite d'Au Revoir Là-Haut, le roman Couleurs de l'incendie de Pierre Lemaitre est à son tour adapté au cinéma par Clovis Cornillac. (...) Couleurs de l'incendie prouve bien l'importance du réalisateur dans la création d'un film. Malgré un scenario solide et de très bons acteurs, cette suite ne se montrera clairement pas à la hauteur d'Au Revoir Là-Haut. Il y manque toute la maitrise visuelle et surtout toute la poésie et la drôlerie qu'avait si bien su apporter Albert Dupontel. Taillé pour les César, le film de Clovis Cornillac ne recevra certainement pas le même plébiscite que son prédécesseur." Freakin'Geek "Au Revoir Là-Haut a brillé par son propos, sa mise en scène et sa poésie, une œuvre véritablement cinématographique où la réalisation sans faille de Dupontel était en corrélation étroite avec l'histoire (...). Le deuxième opus de la trilogie nous propose un point de vue plus noble mais une œuvre moins spectaculaire visuellement (...). (...) le personnage principal laisse dubitatif. (...) L'interprétation de Léa Drucker n'est pas marquante et son jeu n'est pas concluant, ce qui fait qu'on ne s'attache pas à son personnage, de la même manière que Lucien Dupré, interprété par un Clovis Cornillac sans charisme et sans saveur. En ce qui concerne l'interprétation des « puissants », Benoit Poelvoorde et Olivier Gourmet sont vrais et attachants." Le Blog du Cinéma - Amaury Dumontet "Malgré une réalisation soignée et un casting majoritairement convaincant, Couleurs de l'incendie nous procure un sentiment de frustration, où certains personnages auraient gagné à être d'avantage développés, où certaines intrigues auraient mérité plus de profondeur." Le Blog du Cinéma - Amaury Dumontet "Ici dans le rôle de l'amant de Madeleine, Clovis Cornillac émerveille à de multiples occasions, et ce, dès le plan-séquence inaugural qui établi avec grâce les relations putréfiées. Dommage qu'il cède ensuite à la lourdeur dialogale de Pierre Lemaitre et à une mise en scène contenue (...). Certes, Couleurs de l'incendie souffre des mêmes écueils narratifs que son prédécesseur Au Revoir Là-Haut, sans bénéficier de la vision de Dupontel. Mais il s'affirme comme une fable palpitante dans sa deuxième partie avec l'évolution du personnage de Léa Drucker et les troubles politiques qu'incarne Fanny Ardant (...)." Cinéman - Eleo Billet |
Synopsis usuel:
Février 1927. Après le décès de Marcel Péricourt, sa fille, Madeleine, doit prendre la tête de l’empire financier dont elle est l’héritière. Mais elle a un fils, Paul, qui d’un geste inattendu et tragique va la placer sur le chemin de la ruine et du déclassement. Face à l’adversité des hommes, à la corruption de son milieu et à l’ambition de son entourage, Madeleine devra mettre tout en oeuvre pour survivre et reconstruire sa vie. Tâche d’autant plus difficile dans une France qui observe, impuissante, les premières couleurs de l’incendie qui va ravager l’Europe. Connaître la fin du film : cliquez ici |
Sortie ciné : 9 novembre 2022 Box office France: 742 080 entrées cinéma |
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