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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Marlowe):
"Quel plaisir ! Retrouver du bon vieux cinéma classique, du polar millésimé 1939, avec un détective privé, des blondes fatales, des méchants élégants, une intrigue byzantine, des dialogues qui crépitent." L'Obs - François Forestier "Neil Jordan signe une sorte d'objet un peu nostalgique, confiant à son chef-décorateur la reconstitution d'une Californie pourrie jusqu'à la moelle, participant d'un projet de démystification de l'industrie cinématographique hollywoodienne au temps de son âge d'or." Le Monde - Jean-François Rauger "Se plaisant à jouer les cartes du mystère et des non-dits, le film enchaîne rapidement les dialogues à ellipses où les personnages se jaugent en testant l'intelligence de leur interlocuteur à chaque réplique. Un parti pris dans la veine des écrits de Chandler, et des films précédents comme Le Grand Sommeil de Hawks. Il faudra donc faire preuve d'une forte attention pour garder le fil et ne pas se perdre trop rapidement dans cette enquête qui s'annonce tortueuse." A la rencontre du 7ème Art "On est finalement moins proche des films noirs de l'âge d'or que du récent Maigret de Patrice Leconte : film fantomatique (façon polie de dire « complètement mou »), au vague parfum Dahlia Noir (le De Palma), situant son intrigue dans le monde du cinéma pour mieux assumer sa nature de trompe-l'œil. Manque au fond une vraie réflexion sur le personnage et son interprète. Neil Jordan n'a en réalité pas grand-chose à dire sur Marlowe ou Liam Neeson, ni d'ailleurs sur le genre lui-même. Dans ce Los Angeles façon Musée Grévin (reconstitué du côté de Barcelone), il se contente de dérouler l'intrigue, par ailleurs plutôt pas mal, qui serait divertissante si elle était racontée avec plus de nerf (...)." Première - Frédéric Foubert "En mettant en avant un florilège d'archétypes (la femme fatale, la mère jalouse…), Marlowe suit un chemin tout tracé. Grossir le trait et suivre des repères classiques n'est pas interdit, sauf quand d'autres éléments ne viennent pas apporter un supplément d'âme au film. Chose qui manque à Marlowe, qui suit un développement cyclique, cultivant une forme de mystère qu'il n'hésite pas à désamorcer pour ne pas trop perdre le spectateur. Alors que l'enquête progresse et que l'intérêt du spectateur devrait s'accroître, rien ne vient bouleverser la monotonie qui s'est installée, pendant que le récit semble suivre un chemin tout tracé." A la rencontre du 7ème Art "D'un bout à l'autre, Marlowe affiche avec tristesse sa petitesse de film très sage, très conventionnel, figé dans son approche platement linéaire et illustratrice. Il ne s'en dégage rien, ni tension, ni passion. Les femmes fatales n'ont rien de vampirisantes (Diane Kruger est aussi « fatale » qu'un couteau à beurre), le détective privé au passé mystérieux n'a rien de charismatique (faut dire que Liam Neeson en fait le moins possible), les antagonistes n'ont rien d'inquiétants… Tout est engoncé dans une étrange paresse léthargique. En résulte un film mollement vieillot où toute notion d'efficacité a laissé sa place à un curieux ennui poli. Ni correct ni fondamentalement raté, Marlowe indiffère. C'est pire." Mondociné - Nicolas Rieux |
Synopsis usuel:
En 1939, à Bay City en Californie, alors que la carrière du détective privé Philip Marlowe bat de l’aile, Clare Cavendish vient lui demander son aide pour retrouver son ancien amant, Nico Peterson, mystérieusement disparu. L’enquête de Marlowe va le mener au Club Corbata, repaire des habitants les plus influents et fortunés de Los Angeles. Mais rapidement, il se heurte à ses anciens collègues de la police alors qu’il fouine dans les coulisses de l’industrie hollywoodienne et dans les affaires de l’une des familles les plus puissantes de la cité des anges. |
Sortie ciné : 15 février 2023 Box office France: 81 978 entrées cinéma |
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