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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray The Whale):
"Charlie, professeur d'anglais immobilisé par sa graisse (il pèse 300 kilos), cherche à renouer avec sa fille adolescente. Il est l'image de l'autodestruction et de la quête d'un pardon. (...) Brendan Fraser, dans le rôle principal, est incroyable, et les effets spéciaux (une combinaison de numérique et de silicone) sont impressionnants." L'Obs - François Forestier "La prestation de Brendan Fraser emporte ce mélodrame déchirant." 20 minutes - Caroline Vié "Avec The Whale, Aronofsky assume de verser dans le grand mélodrame intimiste, aussi émouvant qu'impressionnant, sans être larmoyant ni performatif." Avoir Alire "Le metteur en scène parvient à rendre dynamique un récit pourtant porté sur la morale, l'humain et la religion. Sans grandes effusions, le film aborde ainsi avec une rare intelligence la capacité de tout un chacun à aider l'autre, exposant ce qu'il reste d'un homme anéanti. Et le film repose du coup énormément sur la performance de ses interprètes." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "Trop verbeux, trop larmoyant, The Whale risque de perdre bon nombre de spectateurs en chemin. Il finit cependant par renverser ses défauts grâce à un Brandon Fraser exceptionnel et une honnêteté à toute épreuve tant dans l'écriture que dans la mise en scène. Reste alors un film trouble, contradictoire et passionnant dans ses imperfections." Ecran large - Clément Costa "The Whale est symbolique du cinéma d'Aronofsky avec une écriture balourde et agaçante, mais une mise en scène plutôt solide et surtout une prestation encore salvatrice de son acteur principal, ici le revenant Brendan Fraser." Ecran large - Alexandre Janowiak "Il n'y a rien à redire sur la performance de Brendan Fraser - sur son charme, son humour et son regard tragique - ou sur celle de la géniale Hong Chau (...) qui incarne son infirmière. Il est obèse, suicidaire et adorable ; elle est frêle et grande gueule ; l'alliance des deux est formidable et c'est la seule chose véritablement, authentiquement solide du film, vaincu par son écartèlement entre son aspect hyper académique et ses visions morbides bien typiques d'Aronofsky." Première - Sylvestre Picard "The Whale, scolaire et bébête, enfile les clichés et les platitudes psychologisantes sur la souffrance, l'adolescence, la vie, la mort, la coiffure de manière totalement et paradoxalement désincarnée." Les Inrocks - Jean-Baptiste Morain "S'il n'y a rien de consciemment sinistre dans pièce originale (elle était écrite par expérience), l'adaptation qu'en fait le cinéaste est non seulement cruelle, non seulement envers son personnage, mais également pour tous ceux atteint par cette maladie, pour preuve son titre même, profondément dégradant - « la baleine ». D'autant que tout du long, Aronofsky ne semble peu où pas intéressé par le point de vue de son protagoniste (...). Il ne semble même pas autrement intéressé, pendant une bonne moitié du long-métrage, à ne montrer autrement son anti-héros que comme un monstre que l'on se doit de trouver répugnant dans sa manière de vivre, dans sa manière de s'auto-détruire à petit feu (...). Ce n'est que dans sa seconde moitié que le tandem Aronofsky/Samuel D. Hunter (qui adapte donc sa propre pièce de théâtre), révèle la « justification » de leur condescendance (...) : Charlie serait in fine une figure christique, une âme aimante et positive qui s'est laissé marché dessus par les autres afin de les absoudre de leur haine, et lui de ses péchés. Pourquoi pas après tout, mais la chose la plus frustrante dans The Whale est que jamais la vision du cinéaste ne montre de la curiosité voire même de l'empathie pour les personnes comme Charlie (...)." Focus Cinema - Jonathan Chevrier "Affirmant ouvertement ses racines théâtrales (de ses dialogues sur-explicatifs à son cadre unique, tant toute l'histoire se déroule dans les limites de la maison et du porche de Charlie) autant que ses contours de mélodrame à la morale douteuse (...), The Whale impose presque son mépris comme une réflexion intellectuelle, intimant son auditoire à défendre cette vision loin d'être bienveillante de l'humanité où la haine se drape d'une fausse et étouffante cape d'empathie." Focus Cinema - Jonathan Chevrier |
Synopsis usuel:
Charlie, professeur d’anglais reclus chez lui, tente de renouer avec sa fille adolescente pour une ultime chance de rédemption. |
Sortie ciné : 8 mars 2023 Box office France: 213 160 entrées cinéma Academy Awards 2023 : 2 récompenses. Oscar du Meilleur Acteur (Brendan Fraser), Oscar des Meilleurs maquillages. |
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