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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod Emily, criminelle malgré elle):
"L'actrice Aubrey Plaza tient de bout en bout ce thriller oppressant qui vaut plus que n'importe quel documentaire sur l'horreur économique moderne." Première - Gaël Golhen "Emily, Criminelle malgré elle est un bon thriller qui a fait le choix de privilégier l'intrigue en délaissant sa dimension sociale." Avoir Alire "Le film refuse d'être un énième pensum sur les méfaits du capitalisme. Il s'agit plutôt de l'impeccable démonstration qu'aujourd'hui, il n'y a plus qu'une alternative : l'esclavagisation légale ou la liberté illégale. Emily a choisi." Première - Gaël Golhen "Là où le film pêche, c'est qu'il ne semble pas s'embarrasser outre mesure du mobile d'Emily, n'accordant guère d'importance au contexte socio-économique et aux dérives de l'uberisation et du marché du travail qui expliqueraient ses difficultés à trouver un emploi décemment rémunéré. Difficile de voir une véritable critique du capitalisme moderne, tant les opportunités de rentrer dans le rang sont expédiées sans délai. Il faut toute la conviction d'Aubrey Plaza pour compenser le manque de plausibilité de l'incursion criminelle de son personnage." Bleu du Miroir - Thomas Périllon "La réussite du film tient beaucoup à la comédienne Aubrey Plaza qui trouve ici l'un de ses meilleurs rôles. Connue notamment pour la série Legion (2017-2019) (...), cette comédienne a toujours su être convaincante dans chacun de ses rôles. Elle donne une véritable dimension dramatique à son personnage et fait que les spectateurs suivent son parcours avec une réelle attention." Mulderville "Environ 40 millions d'Américains traînent de lourdes dettes d'études, pour une somme globale qui approcherait 1700 milliards. Pas étonnant que le phénomène soit devenu un véritable enjeu politique aux États-Unis (...). Parce qu'il a lui-même traîné ce type de dette, et enfilé les petits boulots pour la rembourser, John Patton Ford sait de quoi il parle dans son premier long métrage de fiction, Emily, Criminelle malgré elle, mettant un visage sur cette réalité brutale. (...) Ceci ne fait pas pour autant de John Patton Ford un potentiel remplaçant de Ken Loach (lui aussi avait écorché l'image de Los Angeles, no man's land des droits des travailleurs dans Bread and Roses), mais sans aucun doute un artisan doué pour les suspenses à caractère humain. Il a d'ailleurs choisi le bon numéro en entraînant Aubrey Plaza dans l'aventure, reconnue pour son sens du comique grinçant (...), et qui ici fait merveille en trentenaire sans boussole ni repères. Sa moue désabusée, qu'elle affiche en toutes circonstances, révèle une lassitude trop bien connue chez ces éclopés de l'endettement exponentiel." Le Devoir - André Lavoie |
Synopsis usuel:
A Los Angeles, Emily, cherche désespérément un emploi stable pour vivre et rembourser des dettes qu'elle a contractées lors de ses années d'études. Mais une ancienne condamnation l'oblige à poursuivre un petit job de livraison de plats cuisinés. Lasse de cette situation, elle accepte la proposition d'un collègue, qui lui indique un moyen de gagner de l'argent rapidement. Emily se rend à l'adresse qu'il lui a indiquée, et découvre en fait une organisation clandestine bien rodée d'achats frauduleux à l'aide de copies de cartes de crédits. Après un premier test, elle se révèle rapidement douée. |
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