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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Dieu pardonne, moi pas !):
"Première rencontre d'un des tandems emblématiques du western et de la comédie italienne des années 1970-80, Bud Spencer et Terence Hill, Dieu pardonne, moi pas ! n'est pas pour autant un western parodique comme on pourra en voir par la suite. Le film de Giuseppe Colizzi arrive au début du succès du western spaghetti et essaie de surfer sur la vague de ce nouveau genre. Tortures, femmes battues, rafales de balles et dynamite composent donc la violence de ce western très sérieux." Ecran large - Flavien Bellevue "Dieu pardonne, moi pas ! est la première rencontre en haut de l'affiche entre Bud Spencer et Terence Hill. Le western italien n'a pas encore viré au « western fayot ». Giuseppe Colizzi signe son premier western en tant que scénariste et en tant que réalisateur. Il soigne donc le travail. Scénario sérieux, avec un méchant plutôt réussi, et un buddy movie qui fonctionne. Chacun des deux héros ayant des intérêts différents mais le même but." Rue du Ciné "La noirceur générale du truc fait de ce film un bon petit moment de western all'italiana avec la sueur, la crasse, les yeux clairs et les sales bobines mal rasées réglementaires avec cigarillos écrasés entre les dents comme Eastwood qui en inspirera des grappes." Nawakulture "Colizzi a gardé en tête la nécessité de faire reposer le point de vue du spectateur sur un seul personnage. Il ne se prive pas pour icônifier Terence Hill : (...) son look général, tout en barbe de trois jours et en transpiration, contribue à faire de lui l'archétype du pistolero des westerns spaghetti." Tortillapolis "Terence Hill et Bud Spencer ne sont pas d'immenses interprètes. Ce qui fait que le film fonctionne c'est le charisme qu'ils dégagent." Rue du Ciné |
Synopsis usuel:
Le pistolero Cat Stevens et le détective Hutch Bessy se lancent sur les traces de Bill San Antonio, un bandit officiellement mort et cependant accusé de l’attaque sanglante d’un train. Ils se rendent bientôt à l’évidence qu’il est bien vivant, déterminé à les semer et à les envoyer six pieds sous terre au cas où ils s’approcheraient de trop près de son butin… |
Sortie ciné : 28 juin 1972 Box office France: 1 812 092 entrées cinéma |
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