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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie Maria's Lovers):
"Maria's Lovers est un drame psychologique aussi subtil que poignant." Télé Loisirs "Kontchalovski retrouve toute l'âme slave qu'il lui faut pour raconter cette histoire d'amour avec lyrisme et simplicité. (...) Émouvante et fragile, d'une ressemblance troublante avec Ingrid Bergman, Nastassja Kinski éblouit les spectateurs par sa beauté et son talent, à 23 ans, alors que vient tout juste de sortir Paris, Texas." Cinematheque "Maria's Lovers est le premier film américain de Kontchalovski. Mais en fait, le film est très slave : le prénom du héros, la vieille babouchka dans la cuisine, la présence silencieuse mais obsédante du père, les interventions douces d'une sorte de simple d'esprit… Et cette chaise abandonnée dans une steppe qui évoque les films de Tarkovski (dont Kontchalovski fut le collaborateur)." Telerama - Pierre Murat "Kontchalovski s'est inspiré d'une courte nouvelle d'un des plus grands écrivains russes - selon lui l'égal de Babel et de Boulgakov - André Platonov. (...) L'action se situait dans les années 20. « Platonov, explique Kontchalovski, exalte l'intensité de l'amour, l'amour vécu jusqu'au bout »." Le Monde - L. M. "Maria's Lovers, film insolite dans la production américaine, va bien plus loin que la petite histoire sentimentale - a boy meets a girl. Une petite bonne femme nommée Maria défend contre vents et marées la pérennité de l'amour, un amour plus fort que le hasard et les circonstances. Trop de clichés, trop de souvenirs d'anciens films américains, le nom même du réalisateur ne devraient pas amoindrir l'audace d'une entreprise singulière qui vise à rien moins qu'à nous faire prendre conscience de l'impasse de toute vie humaine. « La chair a peur de la mort, elle doit se multiplier », affirme Kontchalovski. Retrouver l'harmonie entre la chair et l'âme, entre le sexe et l'infini, peut-être Kontchalovski, qui se dit chrétien, a-t-il tenté l'impossible, l'innaccessible." Le Monde - L. M. |
Synopsis usuel:
1946. Après plusieurs années de captivité dans un camp japonais, Ivan Bibic rentre chez lui en Pennsylvanie. Seul un rêve fou lui a permis de surmonter cette terrible épreuve : dès son retour, épouser la belle Maria Bosic, celle qu'il aime depuis toujours au sein d'une communauté d'émigrés yougoslaves. Cependant elle est déjà courtisée par un jeune capitaine, Al Griselli. Après plusieurs rendez-vous avec Ivan, Maria accepte de l’épouser. Mais victime d'une trop grande fixation, il s'avère impuissant à consommer son mariage. Bientôt, le couple se déchire. |
Sortie ciné : 3 octobre 1984 Box office France: 997 074 entrées cinéma |
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