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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray The Eternal Daughter):
"The Eternal Daughter parle avec délicatesse de toutes ces personnes qui ont fait le choix de ne pas avoir d'enfants, ce qui provoque le renforcement du lien existant avec la génération précédente. (...) The Eternal Daughter est un cinéma de l'introspection et de la sensibilité aussi beau qu'intellectuel qui affirme plus haut encore la place de cette passionnante cinéaste." Bleu du Miroir - Florent Boutet "The Eternal Daughter n'a pas peur de s'assumer en tant que film de spectres, mais son horreur demeure intérieure. Celle-ci se cache dans le miroir que mère et fille, coupées du monde comme dans un huis-clos infernal, se renvoient l'une à l'autre. Incapables de communiquer autrement qu'avec une politesse excessive, elles demeurent une énigme l'une pour l'autre comme si elles n'étaient que des origamis fragiles ou des casse-têtes. L'idée la plus géniale du film est d'ailleurs bien entendu de faire interpréter les deux personnages par la Swinton." Le Polyester - Gregory Coutaut "Joanna Hogg offre une véritable leçon de cinéma. Toute la mise en scène s'attache aux détails. Un mouvement de tasse, un cadeau déposé sur une assiette, un bruissement de rideau : autant d'exemples qui démontrent le soin extrêmement scrupuleux de la réalisatrice à faire chanter le récit. En réalité, la véritable fiction se loge dans les accessoires, les brumes du jardin, les meubles et les tapisseries de l'hôtel, beaucoup plus finalement que dans les dialogues entre les deux femmes." Avoir Alire - Laurent Cambon "Avec un talent fou, Joanna Hogg parle d'elle-même au travers de la brillante Tilda Swinton et de ces images aussi belles qu'inquiétantes. Celles-ci parleront avec délicatesse à toutes les personnes ayant déjà été hantées par la perte d'un être cher." Ecran large - Judith Beauvallet "Le ton du film oscille entre le drame et l'horreur — bien que les éléments réellement horrifiques servent vraiment plus de pivots à l'intrigue et à montrer l'état d'esprit du personnage, puisque The Eternal Daughter ne saurait se qualifier de film d'horreur en tant que tel. Le rythme lent et la mise en scène plutôt sobre représentent bien le style de Joanna Hogg, qui s'apparente beaucoup à Ozu, par exemple : longs plans statiques, compositions réfléchies, isolant et séparant souvent les personnages. C'est d'autant plus le cas dans ce film-ci, puisque les deux femmes sont interprétées par la même actrice." Horreur Québec - Miguel De Plante "La cinéaste britannique confirme son talent à créer des atmosphères envoûtantes (...). Mais cette fois-ci, le scénario et ses effets de surprise trop vite éventées convainquent moins, donnant à l'ensemble un côté plus fabriqué, à l'image de l'idée de confier les deux rôles à Tilda Swinton, certes impeccable mais dans un numéro parfois trop artificiel." Première - Thierry Chèze "L'exercice, trop scolaire, est juste digne d'un court-métrage." L'Obs - Nicolas Schaller |
Synopsis usuel:
Julie, accompagnée de sa mère âgée, vient prendre quelques jours de repos dans un hôtel perdu dans la campagne anglaise. La jeune femme, réalisatrice en plein doute, espère y retrouver l’inspiration ; sa mère y voit l’occasion de faire remonter de lointains souvenirs, entre les murs de cette bâtisse qu’elle a fréquentée dans sa jeunesse. Très vite, Julie est saisie par l’étrange atmosphère des lieux : les couloirs sont déserts, la standardiste a un comportement hostile, et son chien n’a de cesse de s’échapper. La nuit tombée, les circonstances poussent Julie à explorer le domaine. Elle est alors gagnée par l’impression tenace qu’un indicible secret hante ces murs. |
Sortie ciné : 22 mars 2023 Box office France: 32 066 entrées cinéma |
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