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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Indiana Jones et le Cadran de la Destinée):
"Cinquième épisode de la franchise, Indiana Jones et le Cadran de la Destinée est une invitation à revivre la flamboyance des années 1980, sans dénaturer l'esprit des films originaux. La présence d'Harrison Ford relève de la magie pure. (...) La peau juvénile d'Harrison Ford a été reconstituée à partir de milliers de photos et de vidéos de la star, ingurgités par l'intelligence artificielle pour recomposer l'homme aux plus belles heures de l'âge, celles d'une virilité pas trop excessive et d'une présence toujours écrasante, celle des stars totales. C'est à la fois étonnant, beau et terrifiant de contempler le futur reconstituer le passé avec un tel sens de la précision." Ciné Dweller - Frédéric Mignard "Durant une séquence d'ouverture magistrale, grâce notamment à une technologie qui ne cesse de s'améliorer sur le rajeunissement numérique des comédiens, ce cinquième opus de la saga, nous replonge dans le passé, à une époque où notre archéologue était fringuant et maniait le lasso comme personne. Cette notion du temps qui passe va hanter les deux heures suivantes, offrant à ce héros de nombreux cinéphiles un dernier voyage à la hauteur du mythe qu'il a été." Abus de Ciné - Christophe Brangé "Grâce à la présence de Phoebe Waller-Bridge, à quelques scènes d'action amusantes, à un climax audacieux et à un scénario plus malin que prévu (plus malin que celui du 4), Mangold offre à Indy la conclusion qu'il mérite en faisant du personnage le témoin d'une industrie hollywoodienne à court de légendes." Ecran large - Mathieu Jaborska "Pouvait-on attendre mieux d'un nouvel « Indiana Jones » contraint par les canons actuels du blockbuster, avec un Harrison Ford de 78 ans lors du tournage et en l'absence de Spielberg aux manettes ? Probablement pas. Sans égaler les trois premiers, ce cinquième opus rattrape la gabegie « Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal » (2008), qu'il enterre en un clin d'œil malin et émouvant. Malin et émouvant, voilà pour l'impression générale que laisse ce chant du cygne dont le prologue de vingt minutes enthousiasme autant qu'il inquiète. Il nous plonge à la fin de la Seconde Guerre mondiale (...) avec un Harrison Ford rajeuni de trente ans par ordinateur. Regard vide, charisme absent, l'ersatz numérique, aussi bien fait soit-il, rebondissant d'un obstacle à l'autre tel un personnage de jeu vidéo, annihile tout ce qui fait le charme d'Indy, héros faillible et terre à terre. (...) Après cette ouverture schizophrénique (...) la notion de temps est au centre de l'intrigue (...)." L'Obs - Nicolas Schaller "Obsédé par le temps, les regrets et la déliquescence, le film tient son fil rouge jusqu'à un troisième acte fichtrement casse-gueule sur le papier, mais qui fonctionne miraculeusement. Un vrai moment d'émerveillement, quasi enfantin, comme la franchise n'en avait jamais connu jusqu'ici." Première - François Léger "Ce volet (sans doute final) fait honneur à ses prédécesseurs, en souffrant de défauts semblables mais en rendant surtout hommage comme il se doit aux meilleurs moments de la saga, et en offrant à son héros la meilleure conclusion possible. Des prises de risque, des maladresses, des clins d'oeil trop appuyés... mais le tout avec une certaine intelligence, et dans l'enthousiasme général qui caractérise les aventures du professeur Jones." Ecran large - Judith Beauvallet "Le film se veut comme un reflet exaltant et élégiaque d'un héros pulp vieillissant, autant qu'un avertissement inespéré contre le piège de la nostalgie. Néanmoins, le cinéaste-orfèvre James Mangold n'arrive jamais à transcender la saga et l'emmener vers des terrains inexplorés. Il en résulte un volet paradoxal, à la fois le moins cinégénique de l'histoire de la série mais aussi le plus passionnant." Avoir Alire "C'est un moment poignant de métaphysique et de réflexion universelle sur l'effet miroir de se revoir dans une jeunesse artificielle accessible par l'image, mais inaccessible dans la chair, devenue forcément triste pour les inéluctables perspectives de vie à venir." Ciné Dweller - Frédéric Mignard "Coincé le popotin entre deux sièges - celui du spectacle numérico-illisible bourré aux camées clin d'œil, et le divertissement mélancolico-nostalgique sur un héros mythique lancé dans son ultime aventure - Indiana Jones et le Cadran de la Destinée laisse un sacré goût amer." Fucking Cinéphiles - Jonathan Chevrier "Pour sa cinquième aventure (et dernière, svp), Indiana Jones franchit l'ultime limite. C'est cohérent au sein de la saga, mais c'est la fin définitive de la magie. Et comme le film est sinon très classique, et manque cruellement de panache, c'est un dernier tour de piste très mineur." Ecran large - Geoffrey Crété |
Synopsis usuel:
1969. Après avoir passé plus de dix ans à enseigner au Hunter College de New York, l’estimé docteur Jones, professeur d’archéologie, est sur le point de prendre sa retraite et de couler des jours paisibles. Tout bascule après la visite surprise de sa filleule Helena Shaw, qui est à la recherche d’un artefact rare que son père a confié à Indy des années auparavant : le fameux cadran d’Archimède, une relique qui aurait le pouvoir de localiser les fissures temporelles. En arnaqueuse accomplie, Helena vole l’objet et quitte précipitamment le pays afin de le vendre au plus offrant. Indy n’a d’autre choix que de se lancer à sa poursuite. Il ressort son fedora et son blouson de cuir pour une dernière virée… |
Sortie ciné : 28 juin 2023 Box office France: 2 940 904 entrées cinéma |
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