Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod Champions):
"Le scénario suit un canevas vu et revu : celui du coach tombé en disgrâce qui renaît et/ou se transforme au contact de sportifs « différents », si possible des causes perdues d'avance, qu'il prend en charge à contrecœur. (...) Malgré ce classicisme, on passe un bon moment car Champions tient bien son équilibre entre caricature et leçon de vie, avec des personnages à la fois drôles et attachants."
Abus de Ciné - Raphaël Jullien
"Woody Harrelson est très à l'aise dans le rôle principal. (...) Son personnage, plus complexe qu'il n'y paraît, débute dans la caricature avant de s'humaniser et de devenir attachant."
Cinoche - Martin Gignac
"Pour son premier film en solo, Bobby Farrelly propose Champions, une comédie sportive prévisible parsemée de blagues insipides et de morales appuyées. (...) Les gags douteux et puérils de nature sexuelle et scatologique laissent de glace. Puis il y a cette mise en scène fonctionnelle et sans grand intérêt, où d'incessantes chansons à messages martèlent le spectateur pendant deux heures."
Cinoche - Martin Gignac
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Synopsis usuel:
Après des années passées à entraîner des équipes de basket de rang national, Marcus Marakovich est désormais assistant d'un autre entraîneur, Phil, pour une équipe locale de l'Iowa. Au cours d'un match, le tempérament de Marcus lui joue à nouveau des tours et l'entraîneur, après une soirée d'ivresse, se retrouve au poste de police, avant d'apprendre qu'il est renvoyé. Quelques jours plus tard, quand il est présenté à la juge Mary Menendez, Marcus a le choix entre passer 18 mois en prison ou entraîner pendant 90 jours une équipe de jeunes trisomiques à Des Moines, dans l'Illinois.
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