Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Kill Me Please):
"A la fois super glauque et capable de nous arracher quelques francs fous rires, Kill Me Please est clairement une expérience à part. L'art de réchauffer les esprits avec le thème le plus glacial..." Films Actu
"La réalisation très sombre, très glauque, contraste avec le ton constant du film qui est très léger. Forcément, le film ne pourra pas plaire à tous. Aborder le suicide avec autant d'humour pourra déranger d'autant plus que le réalisme est bien présent." CloneWeb
"Enchaînant les scènes loufoques et absurdes avec un humour à la carabine, Kill Me Please va très loin dans le délire, mettant parfois mal à l'aise, comme cette scène de presque viol, ou mourir de rire, notamment les 30 dernières minutes totalement hallucinantes de n'importe quoi et de génie." CloneWeb
"Quand, à mi-chemin, le film bascule dans un trip complètement différent de celui dans lequel il avait commencé à nous installer, on commence sérieusement à se dire que Barco lui-même n'a pas encore décidé quel ton il voulait donner à Kill Me Please. Est-ce une farce ou un thriller mou ? " Le Blog du Cineam
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Synopsis usuel:
Le docteur Kruger est un pionnier décidé à faire entrer le suicide dans la modernité. Sa clinique reçoit une subvention gouvernementale afin que le suicide ne soit plus une tragédie, mais un acte médical assisté. Son rêve est de trouver un cadre thérapeutique à l’intérieur duquel la médecine parvient à dominer cette pulsion de destruction que les désespérés, ou les malades, veulent exercer contre eux-mêmes. Chaque jour, le docteur Kruger reçoit ses malades et les écoute. Tour à tour, les patients défilent dans son bureau et examinent avec lui les motifs qui justifient — ou non — leur suicide à venir. Lorsque la décision est prise, chacun a le droit de voir exercer un dernier souhait : déjeuner spécial, vin d’excellence, lubie personnelle. Le docteur Kruger est un humaniste qui cherche à rendre la mort des autres plus douce. Mais dans la montagne isolée où il a décidé de bâtir son rêve de « suicide idéal », quelque chose vient lui rappeler que personne ne contrôle la pulsion de mort : la mort elle-même.
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