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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray La Zone d'intérêt):
"Doté d’un impressionnant travail sur le son et la musique, le film joue le contraste permanent, d’un grondement de fond infernal lié aux invisibles fourneaux voisins, à l’apparence paisible d’un jardin fleuri (...). Jonathan Glazer met également le spectateur face à sa propre propension à l’oubli. La Zone d'intérêt résonne aujourd’hui comme un avertissement, grondant et vrombissant, qui vous pénètre jusque dans ses dernières minutes, créant un malaise qui ne vous lâchera plus dans les jours qui suivent." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "Comment résumer en une poignée de lignes un tel électrochoc, dont la densité ne cesse de s'affirmer à chaque visionnage ? Au-delà de l’intelligence de sa mise en scène, La Zone d'intérêt est un chef-d'œuvre de viscéralité, de ceux qui restent en vous longtemps après la séance. Un grand film sur l’indicible de la Shoah, et un grand film tout court." Ecran large - Antoine Desrues "La Zone d'intérêt est un regard singulier sur la Shoah, privilégiant le hors champ et confirmant l’originalité du cinéma de Jonathan Glazer." Avoir Alire "Avec La Zone d'intérêt, Jonathan Glazer va plus loin qu'une simple étude hors-champ de la noirceur de l'âme humaine, en abordant frontalement et avec crudité, un débat aussi séculaire que stagnant : la représentation de la banalisation perverse d'une horreur abjecte et bien réelle." Fucking Cinéphiles - Jonathan Chevrier "La Zone d'intérêt a traumatisé le Festival de Cannes 2023. Le réalisateur y offre une réflexion glaçante sur la banalité du Mal. Son choix de garder l’horreur hors champ est très judicieux." 20 minutes - Caroline Vié "Le théorème du film, c’est la présence perpétuelle, obsédante de la machine génocidaire, aux moments les plus intimes, tendres et (en apparence) anodins (...). L’effort de reconstitution est maniaque (...). L’enjeu était de s’inscrire dans l’histoire de la (non) représentation des camps de la mort, pour dire qu’en matière de Shoah, le hors champ est aussi insoutenable voire, en ce qui concerne les protagonistes eux-mêmes, encore plus odieux (...). Sauf que le cinéaste ne laisse rien hors champ, justement. Ni le sang (à nettoyer sur les bottes du Nazi), ni les restes humains (une demi-douzaine de séquences), ni les fourrures à voler, ni les filles à violer, ni la fumée rougeoyante du four crématoire, ni les postures de SS de cinéma, joués comme dans un nazisploitation de base (bretelles baissées, ventre en avant, menton haut, rictus de super-vilain). Le film s’accable lui-même d’une double peine : à la fois scolaire (les manuels du hors champ, de l’infilmable et de la banalité du mal récités par cœur) mais contredisant maladroitement sa propre doxa théorique en alignant les effets de sens, de rime et de choc, comme on checke une liste de courses au supermarché." Première - Guillaume Bonnet |
Synopsis usuel:
Le commandant d’Auschwitz, Rudolf Höss, et sa femme Hedwig s’efforcent de construire une vie de rêve pour leur famille dans une maison avec jardin à côté du camp. |
Sortie ciné : 31 janvier 2024 Box office France: 790 279 entrées cinéma Academy Awards 2024 : 2 récompenses. Oscar du Meilleur son, Oscar du Meilleur film international. Festival de Cannes 2023 : Grand Prix. |
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