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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie Lucky Jo):
"Cette comédie est une parodie légère des polars à la mode dans les années 1950. Mais qu'on ne s'y trompe pas : l'étincelant dialogue de Nina Companeez dissimule mal la nostalgie du propos. En dépit de nombreux moments drôles (le duo Brasseur père et fils en flics philosophes), le film est, avant tout, une méditation sur le temps qui passe et les sentiments qui fuient." Télérama "A voir Lucky Jo après les autres opus de Michel Deville on a réellement l'impression d'un film de commande. (...) Deville réussit tout de même à inclure quelques éléments récurrents de son cinéma : un certain effet comique et de jolies actrices notamment (...)." Ecran large - Nicolas Thys "Contemporain de la Nouvelle Vague sans jamais y avoir appartenu, Michel Deville a commencé sa carrière avec des comédies légères et poétiques co-écrites avec Nina Companeez. C’est avec le même esprit humoristique que Deville et sa scénariste adaptent une série noire de Pierre Lesou et s’amusent des codes du genre." Arte TV "Les dialogues pétillants de Nina Companeez font mouche et les personnages, bons ou méchants, ne manquent pas de charme. Policiers, truands : tous dégagent une indéniable chaleur humaine dont on sent qu’elle est, à l’image de son héros au grand cœur, sur le point de s’effacer au profit d’une plus grande noirceur. Les temps changent et la mise en scène alerte et inventive de Deville s’y adapte au rythme de la musique composée par Georges Delerue. Lucky Jo n’en reste pas moins une curiosité mineure dans la carrière du cinéaste." Cinéluctable - Marcorèle "Au fond l'histoire de Lucky Jo est une histoire dramatique (...). C'est l'angoisse, la solitude, le désespoir de Lucky Jo qui constituent le vrai thème du film. Et c'est ce thème-là que, presque certainement, Michel Deville, qui est un réalisateur sensible et intelligent, a eu envie de développer. Le cinéma, hélas ! a ses servitudes. Ou bien on n'a pas laissé les mains libres à Michel Deville ou bien lui-même a craint de décevoir le public. Alors il est resté assis entre deux chaises. Au lieu de traiter en profondeur le sujet qui l'avait séduit (et auquel Eddie Constantine, comme il le prouve dans deux ou trois scènes, aurait pu donner un étonnant relief), Michel Deville a réalisé une « série noire » dont le caractère artificiel interdit qu'on prenne au sérieux le drame de Lucky Jo et qui, privée des entourloupettes habituelles aux films de ce genre, ne nous divertit qu'à moitié." Le Monde - Jean de Baroncelli (1964) |
Synopsis usuel:
Jo, séducteur et malfaiteur, porte la poisse à ceux qui l'approchent. A sa sortie de prison, les ennuis reprennent : à cause de lui, son ami Simon est accusé d'un hold-up dont il est innocent. Jo enquête et découvre que les coupables sont aussi des amis à lui. |
Lucky Jo est un film en noir et blanc. Sortie ciné : 11 novembre 1964 Box office France: 1 101 846 entrées cinéma |
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