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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd When Evil Lurks):
"When Evil Lurks fait mouche dans la manière qu'a Rugna de penser son film comme un saisissant drame familial, dans lequel il insère une force démoniaque perverse pour pimenter les débats." Fucking Cinéphiles - Jonathan Chevrier "Original et sur la forme et sur le fond, ce premier film d’horreur argentin renouvelle un genre où la possession démoniaque raconte moins la peur du Diable que l’état des campagnes argentines, dévorées par la transformation massive des modes de production." Avoir Alire "En introduisant son film lors de sa présentation au Festival de Gérardmer, Demiàn Rugna nous annonçait qu’on risquait de le détester à la fin de la projection. Ici, comme les spectateurs ne se laissent pas avoir par ce genre de teasing, ils attendaient le résultat patiemment. Et on est récompensé au bout de 10 minutes à peine : un corps en putréfaction énorme mais vivant nous attend sur un lit au détour de l’intrigue. Une belle entrée en matière, et certainement le moment le plus tranquille du métrage." Abus de Ciné - Océane Cachat "Demiàn Rugna avait déjà fait ses preuves dans le genre : il a insufflé en Argentine un vent de fraîcheur sur l’horreur avec son Terrified en 2017. Ici, (...) le génie de cette histoire est de reprendre les codes que l’on connaît, en y insufflant une sauvagerie et un sens de la mise en scène impeccable." Abus de Ciné - Océane Cachat "Ce qui détonne chez When Evil Lurks, c’est surtout le traitement des offensives démoniaques de ces infectés. D’abord carrément écœurante lors du premier cas de possession, les quelques mises à mort sanglantes qui suivent — la plupart se déroulent même en plein jour — terrorisent carrément grâce à leur caractère imprévisible. Le problème, c’est que ces trois ou quatre scènes disjonctées (Hollywood se chargera bientôt d’aller les copier, comme avec Terrified) sont carrément noyées dans une mare d’explications sur les mécaniques trop ambitieuses et souvent même confuses de cette nouvelle mythologie." Horreur Québec - Marc Boisclair "Une métaphore du Covid ou de l’extrême droite du président Javier Milei ? En tout cas, le prétexte à bâtir une atmosphère savoureusement délétère et des scènes bien flippantes. Elles expliquent son double prix (du public et de la critique) au Festival de Gérardmer et rendent d’autant plus regrettable la seconde moitié du film, (...) perdue dans des ellipses et explications peu convaincantes." L'Obs - Nicolas Schaller "Bien qu’il faiblisse sur la fin, When Evil Lurks fait preuve d’une misanthropie putrescente qui rappellerait presque les grandes heures du bis italien." Ecran large - Mathieu Jaborska "Si la fin semble à ce point conventionnelle, c'est parce que tout ce qui la précède est d'une brutalité et d'une cruauté prodigieuses. Un petit tour de force, qui imprime au sang quelques images absolument mémorables." Ecran large - Geoffrey Crété |
Synopsis usuel:
Après avoir découvert un cadavre mutilé près de leur propriété, deux frères apprennent que les événements étranges survenant dans leur village sont causés par un esprit démoniaque qui a élu domicile dans le corps purulent d’un homme. Le mal dont souffre ce dernier ne tarde pas à se répandre comme une épidémie, affectant d’autres habitants de la région. |
Sortie ciné : 15 mai 2024 Box office France: 43 030 entrées cinéma |
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