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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Les Arnaqueurs):
"Un film qui fait froid dans le dos. On regarde avec une fascination mêlée de dégoût ces personnages qui s'entre-déchirent pour de l'argent. (...) Les deux actrices sont absolument remarquables. Mais ce qui retient surtout l'attention, c'est la perfection, l'élégance, la sobriété et l'efficacité d'une mise en scène précise." Plans américains - Guide des films de Jean Tulard "Sous des airs de comédie policière, Frears, période hollywoodienne, signe une authentique tragédie. Epurée, stylisée, parfaite." Les Inrocks - Olivier Nicklaus "Il fallait tout le talent de Stephen Frears pour faire accéder ce thriller au niveau de la tragédie. Un vrai film noir qui hante longtemps l'esprit après sa vision." Plans américains - Guide des films de Jean Tulard "Cette chevauchée morbide d'un fils (John Cusack) et de sa mère (Anjelica Huston), tous les deux arnaqueurs professionnels, marqués de très près par une jeune confrère (Annette Bening) tout aussi vénale, se déroule sur un fond incestueux larvé qui mènera jusqu'à une acmé finale qui vaut son pesant de frissons. L'esthétique très soignée (photographie d'Oliver Stapleton et musique d'Elmer Bernstein), portée par trois acteurs complètement en phase avec le réalisateur, compense largement une légère paresse narrative qui privilégie les scènes chocs à une progression vraiment captivante." Plans américains - Didier Koch "Sombre et pervers, Les Arnaqueurs est moins un polar qu'un portrait au vitriol de deux femmes machiavéliques attirées par le pouvoir et l’argent. Un look et une mise en scène d'un autre temps, mais des prestations impeccables des comédiens." AV Cesar "Pas étonnant que je me rappelle que très peu de ce film. Il y a tout ce qui me laisse froid au cinéma. Les histoires de fric, la cupidité… des personnages seuls qui n’ont besoin d’aucune aide, des parasites qui pour survivre sont capables de tuer leur mère… (...) En fait, je me souvenais du finale. Et c’est bien ce qui sauve le film pour moi. Tout d’un coup, on a affaire à une scène improbable, en dehors de toutes les règles, originale, on peut dire." La saveur des goûts amers "On s'attend à des tours pendables, à des twists infernaux, mais on se rend rapidement compte que la déception sera au rendez-vous à ce niveau-là : les agissements de Huston (faire baisser la côte de certains chevaux) sont aussi passionnants qu'une discussion dans un PMU, la petite arnaque de Cusack est aussi ringarde qu'un jeu de bonneteau, le "grand coup" de Bening est évoqué lors d'un flash-back qui rompt avec toute idée de suspense, cassant le rythme même de notre fil narratif - qui n'avait d'ailleurs pas besoin de cela pour qu'on décroche encore plus... (...). Le générique tombe mollement sur un récit qui a permis sans doute à l'Anjelica d'incarner un personnage trouble et vénéneux mais dans un écrin de ouate chloroformée. Presque une arnaque en soi." Shangols |
Synopsis usuel:
Parce que son mari Roy, escroc à la petite semaine, a refusé de monter des coups en équipe, Myra, qui croit voir en ce refus l’influence despotique de Lilly, la mère de Roy, décide de se venger de cette dernière en dénonçant son passé trouble à son employeur. Sa machination aura des conséquences aussi tragiques qu’inattendues… |
Sortie ciné : 23 janvier 1991 Box office France: 454 063 entrées cinéma |
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