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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Le Marchand de Venise):
"Cette adaptation de la pièce de Shakespeare est d'un attrait irrésistible puisque le rôle de Shylock, l'usurier juif, a été confié à Al Pacino." Le Monde - Thomas Sotinel "Je suis à vrai dire assez mal à l'aise avec cette pièce. Déjà, lors de ma découverte de l'oeuvre, j'avais été frappée par les sens complètement opposés que l'on pouvait lui donner : soit profondément antisémite, soit, au contraire, dénonçant les conditions de traitement des Juifs à l'époque. C'est bien entendu ce second point de vue qui est ici adopté par ce film qui, dès le départ, explique en quelques lignes le traitement réservé aux Juifs dans la Venise du 16e siècle (...). Cette adaptation évite donc les écueils majeurs que cette histoire pouvait laisser craindre, grâce à des acteurs investis, sans parvenir pour autant à éluder sa nature ambiguë." Le blog d'Akialam "En établissant avec clarté le contexte historique entourant la marginalisation des juifs dans l'Italie du XVIe siècle (...), Radford illustre mieux les motivations du personnage de Shylock. Il évite ainsi de démoniser cet usurier, victime du mépris des chrétiens qui le sollicitent pourtant en cachette." Media F1lm - André Lavoie "Le Marchand de Venise est une pièce classée parmi les comédies du dramaturge anglais (Shakespeare). Le réalisateur en donne une reconstitution fidèle, dans une mise en scène plus littérale qu'imaginative. Son film est un beau spectacle, si l'on oublie l'antisémitisme qui le sous-tend. Mais peut-on faire l'impasse sur ce qui, dans la réalité, a causé tant d'horreurs ? " Cinéfeuilles - Geneviève Praplan "Le film s'impose surtout par ses aspects lugubres et ses intérieurs sombres, donnant à l'ensemble une allure quelque peu empesée. On en vient même à regretter l'approche plus flamboyante qu'aurait pu lui insuffler un Kenneth Branagh. Conscient du mépris qu'inspire la figure de Shylock, Al Pacino en propose une interprétation nuancée. Jeremy Irons et Joseph Fiennes réussissent quant à eux à ne pas se laisser éclipser par le célèbre acteur américain." Media F1lm - André Lavoie "Le metteur en scène britannique Michael Radford a pris le parti d'une reconstitution historique luxueuse mais sans grande personnalité. Heureusement, quand Pacino est à l'écran, l'intensité dramatique bondit brusquement, la pièce devient une jungle minée de chausse-trappes morales." Le Monde - Thomas Sotinel |
Synopsis usuel:
Venise 1596. Afin de courtiser la belle Portia, Bassanio demande à son ami Antonio, un talentueux marchand, de lui prêter une forte somme. Contraint d’emprunter l’argent à l’usurier juif Shylock, Antonio promet de lui donner une livre de sa chair s’il ne peut rembourser le prêt à la date convenue… |
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