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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie blu-ray Full River Red):
"Malgré sa durée et ses gimmicks, le whodunit labyrinthique de Zhang Yimou est très réussi, y compris dans ses débordements comiques. En revanche, à chacun de se positionner par rapport au nationalisme conquérant qu’il prône." Ecran large - Mathieu Jaborska "Pas sans défauts ni sans un désir gourmand à vouloir surcharger plus que de raison sa narration (sous-intrigues où même persos dispensables), Full River Red incarne néanmoins une solide représentation sur pellicule de la grandiloquence et de la générosité folle du cinéma de Yimou." Fucking Cinéphiles - Jonathan Chevrier "L'auteur de Vivre, Qiu Ju, une femme chinoise et Hero revient avec une enquête policière en costumes et en huis clos. Un polar chinois médiéval brillant et énergique bien qu'encombré de patriotisme dans son épilogue." Les Echos - Adrien Gombeaud "L’idée ici est de se laisser porter – et se perdre - par les incessants va-et-vient de personnages dont on finit par ne plus très bien savoir ce qu’ils cachent. La mise en scène de Yimou, elle, n’a pas bougé. Inspirée, elle enrobe cette fresque souvent drôle d’un vernis soyeux à la limite du fantastique." Première - Thomas Baurez "Dans ce whodunit médiéval, on essaiera d’abord (en vain) de retrouver la trace du cinéaste contestataire que fut autrefois Zhang Yimou. Définitivement rangé du côté des grosses productions made in China, le réalisateur signe ici un polar en costumes (...). On s’amuse d’abord de l’ironie narquoise de ce film policier agréablement bavard, avant de finir par trouver le temps long. L’espoir de quelques duels au sabre est à remiser. Tout reste cérébral, et aucune voltige ne vient aérer la mise en scène. Frustrant." L'Obs - Xavier Leherpeur "Conscient de l’improbabilité de la plupart de ses retournements de situation, le cinéaste s’amuse à intégrer du second degré à sa fresque, aussi bien dans la caractérisation des protagonistes que dans la bande-son, mélange improbable de musiques traditionnelles, rap, électro et même punk. Durant les premiers instants, le plaisir est réel face à ce spectacle grandiloquent et hyperbolique où les règles de la raison ne semblent pas s’appliquer. Malheureusement, cette impression positive va s’étioler au fur et à mesure des trop nombreuses minutes de ce métrage qui culmine à 2h40." Abus de Ciné - Christophe Brangé "À force de voir pléthores de soldats se faire poignarder, un sentiment de redondance s’installe inéluctablement, d’autant plus lorsque le scénario sibyllin ne cesse de surenchérir dans sa volonté de toujours cacher un nouvel élément à chaque scène. Épuisante et agaçante, la farce finit même par tourner à la parodie, et pire, au pamphlet politique grotesque dont le message propagandiste est plus que questionnable." Abus de Ciné - Christophe Brangé |
Synopsis usuel:
Chine, XIIe siècle. Dans quelques heures va se tenir une rencontre diplomatique de la plus haute importance entre Qin Hui, Chancelier de la dynastie Song, et une délégation Jin de haut niveau. Or voilà que le diplomate Jin dépêché sur place est assassiné et la lettre destinée à l’Empereur dérobée. Le Chancelier demande alors au caporal Zhang Da, escorté par le commandant en second Sun Jun, de ramener la précieuse missive avant le lever du soleil. Au fil de leurs recherches, des alliances vont se former et des secrets seront révélés… |
Sortie ciné : 31 juillet 2024 Box office France: 3 545 entrées cinéma |
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