Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Gigola):
"Laure Charpentier adapte là son propre roman paru en 1972 et largement censuré dès sa sortie car abordant le sujet épineux de l'homosexualité féminine." Filmosphere
"Gigola possède une fraîcheur indéniable et rappelle, dans ses meilleurs moments, le style des premiers films d'Almodovar. Lou Doillon incarne avec beaucoup de dynamisme cette jeune femme contradictoire, au caractère inaccessible." Avoir Alire
"On regrette que Gigola n'ait pas assumé avec plus de panache ses influences comiques, proches du sitcom : c'est sans conteste dans ce registre que le film trouve ses quelques moments de justesse." Avoir Alire
"Des films du calibre de Gigola, il y en a peu dans l'Histoire du cinéma. (...) Vous pourrez passer un moment délicieux et inoubliable les yeux écarquillés, en vous demandant comment ils ont pu faire « ça ». Et ce « ça » dans Gigola, cela consiste à vous plonger dans une réminiscence d'un porno soft allemand (oui, oui, celui que vous matez en zappant sur RTL9) sublimé par la musique de chambre du mari de Chantal Goya, (...) où des acteurs respectés font n'importe quoi sans réaliser qu'ils peuvent flinguer une carrière avec de telles images. Comme celle de voir l'une des muses d'Almodovar, Marisa Paredes, se faire prendre le cul par la canne de Lou Doillon en poussant des râles de plaisir." Ecran Large
"Mal écrit, mal joué, réalisé comme une mauvaise suite d'Emmanuelle en pire, Gigola est une torture cinéphilique (...) un vulgaire téléfilm chiant comme la mort et ridicule d'un bout à l'autre." Filmosphere
|
|
Synopsis usuel:
Pigalle, début des années 60… L’argent et le bourbon coulent à flots. Ici, la vie se passe la nuit, derrière les volets clos. En compagnie de prostituées désaxées, de transformistes spectaculaires, de mafieux italiens, des femmes s’aiment sans tabou. Et il y a Georgia, alias Gigola, garçonne dandy et raffinée qui ne cache que bien mal sous ses airs autoritaires et son allure travaillée sa grande sensibilité. Encore hantée par le suicide de sa première maîtresse, elle panse ses blessures en rendant folles d’amour Cora, une jeune entraîneuse, ou Odette, une bourgeoise richissime...
|