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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd La Maison Nucingen):
"La Maison Nucingen est une incursion étrange, filmée en format vidéo, dans un univers littéraire et fantasmatique à situer quelque part entre la mélancolie proustienne et l'horreur gothique. Envoûtant, si on s'y laisse prendre." Avoir Alire "Certains choix du réalisateur sont fragiles, parfois à la limite du ridicule : le goût du nonsense à l'anglaise risque de relever davantage du jeu de langage que du babil piquant d'Alice au pays des merveilles, et face à un Jean-Marc Barr très sobre et émouvant en mari nouvellement fortuné, Elsa Zylberstein surjoue l'angoisse et l'épuisement." Avoir Alire "Le réalisme conféré par la vidéo numérique ne vient que renforcer l'inquiétante étrangeté d'une atmosphère macabre." Ecran large "Raoul Ruiz est l'un des réalisateurs les plus prolifiques encore en vie. Et, fait rare, même si certaines de ses oeuvres sont plus faibles que d'autres, dans l'ensemble sa carrière est immense et il sait encore se renouveler. La preuve avec La Maison Nucingen, l'un des films les plus étranges de ces dernières années." Ecran Large "Le film est passionnant (...) il fait intervenir fantômes et vampires dans une collision sèche mais terriblement envoutante." Ecran Large "Le dernier film de Raoul Ruiz est si déroutant et déconcertant qu'il risque fort de se mettre à dos une bonne partie du public et de la presse. (...) On est plutôt décontenancé par l'entreprise minimaliste et fauchée que représente La Maison Nucingen. Un parti pris qui tendrait à se rapprocher d'un long-métrage amateur et expérimental tant le film est en marge des normes des productions françaises actuelles. C'est simple, la griffe amateur ouvertement assumée rend laborieuse et désagréable la vision du film." Excessif |
Synopsis usuel:
Chili, années 1920. William, un jeune aristocrate vient de gagner au poker une propriété près de Santiago. Il y emmène sa femme Anne-Marie afin qu'elle puisse s'y reposer. Dès leur arrivée, ils sont accueillis par des personnages étranges et envahissants soudés autour d'une oppressante et poétique figure, celle d'un fantôme, celui de Léonor, disparue accidentellement. La maison aux contours étouffants devient le théâtre d'une incroyable substitution liée aux angoisses et désirs d'un homme insatisfait. |
Sortie ciné : 3 juin 2009 Box office France: 4 298 entrées cinéma |
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