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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Je suis heureux que ma mère soit vivante):
"Claude Miller s’associe à son fils Nathan pour mettre en scène efficacement un fait divers sordide du début des années 90. Il en résulte une manifestation sanglante du complexe d’Oedipe transcendée par l’interprétation de ses comédiens, en particulier Vincent Rottiers, tout simplement magistral." Avori Alire "Avec l'excellente prestation de ses comédiens, une réalisation sobre mais construite, Je suis heureux que ma Mère soit Vivante se présente comme le fait divers qu'il fut, simple mais tragique." Excessif "Je suis heureux que ma Mère soit Vivante est un suspense épuré, un film ambigu et troublant : souffrance dans tous les coins et ellipses dans chaque plan. Rien n'est expliqué, encore moins justifié : ni cette mère, plus inconsciente qu'indifférente, qui aime les mecs, et donc ce petit nouveau qui débarque dans sa vie. Ni ce jeune homme au regard de glace (Vincent Rottiers, intense) qui ne pose, à aucun moment, les questions que tout le monde attend." Telerama "Les réalisateurs distillent subtilement quelques touches de sensibilité au sein d’un récit terriblement bien charpenté et courageux dans sa mise à distance du mélodrame. D’aucuns parleront de « clinicité » du climat, de froide arithmétique des coeurs... on préférera de notre côté parler de dignité." Critikat "Je suis heureux que ma Mère soit Vivante est un morne mélo social sur la filiation à la pesanteur pachydermique. Les réalisateurs se contentent d’illustrer avec application un triste fait divers. Le film se solde par un concentré de tous les effets pervers de l’oeuvre de Pialat sur le cinéma français. Bref, l’hystérie à tous les étages et à tout bout de champ masque mal la profonde vacuité de ce film incolore et inodore sur les soubresauts d’un jeune homme taraudé par le fait d’avoir été abandonné par sa mère, qui renoue avec elle dans des conditions troubles." Les Inrocks |
Synopsis usuel:
Notre identité est un vêtement dont notre enfance a dessiné les coutures. La présence de ceux qui nous ont élevés, nos parents, a été fondatrice de ce que nous sommes. Mais que se passe-t-il quand il s'agit d'absence ? C'est une des questions posées par notre histoire. Entre 7 et 20 ans, Thomas a recherché Julie, sa mère biologique. A l'insu de ses parents adoptifs, il va retrouver cette femme qui l'a abandonné à 4 ans et commencer auprès d'elle une "double vie". Mais "qui a deux maisons perd la raison..." dit le proverbe. |
Sortie ciné : 30 septembre 2009 Box office France: 51 332 entrées cinéma |
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