Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Balada Triste):
"En roue libre, le réalisateur espagnol nous offre sur un plateau sanglant une nouvelle peinture vitriolée de la nature humaine, sauvagement ancrée dans un pays marqué par les guerres et le régime franquiste." Films Actu
"A cela s'ajoute une violence considérable, une cruauté presque obscène, un humour à la fois potache et noir foncé, une photo absolument magnifique, des acteurs à vif et un hommage soutenu au cinéma de Luis Bunuel ou de Buster Keaton." Films Actu
"L'esthétique de Balada Triste est absolument irréprochable, tout simplement sublime. (...) Balada Triste, fait de réminiscences sombres de l'enfance du réalisateur, est un très beau film à ne pas rater." Tout le Cine
"Pour quiconque n'a jamais réussi à accepter le style foutraque de Álex de la Iglesia, ses excès graphiques, son goût prononcé pour l'humour noir et le sang, son talent pour le bricolage filmique qui en fait un éternel savant fou du 7ème art, Balada Triste apportera encore un peu d'eau à leur moulin. En effet, Balada Triste, c'est du pur Álex de la Iglesia, un concentré même, tout ce qu'il peut faire de mieux ou de pire dans un film-somme extraordinaire." Film O Sphere
"Balada Triste est un film assez déséquilibré entre une première partie très construite, extravagante mais cohérente, et une seconde totalement explosive, partant un peu trop dans tous les sens, relèvant de la comédie d'action aussi improbable que jouissive." Abus de Cine
"Balada Triste n'échappe pas à l'ornière habituelle du réalisateur : une tendance à l'exagération et à l'excès qui peut épuiser." Excessif
|
|
Synopsis usuel:
Dans l’enceinte d’un cirque, les singes crient sauvagement dans leur cage tandis qu’à l’extérieur, les hommes s’entretuent sur la piste d’un tout autre cirque : la guerre civile espagnole. Recruté de force par l’armée républicaine, le clown Auguste se retrouve, dans son costume de scène, au milieu d’une bataille où il finira par perpétrer un massacre à coup de machette au sein du camp national. Quelques années plus tard, sous la dictature de Franco, Javier, le fils du clown milicien, se trouve du travail en tant que clown triste dans un cirque où il va rencontrer un invraisemblable panel de personnages marginaux, comme l’homme canon, le dompteur d’éléphants, un couple en crise, dresseurs de chiens mais surtout un autre clown : un clown brutal, rongé par la haine et le désespoir, Sergio. Les deux clowns vont alors s’affronter sans limite pour l’amour d’une acrobate, la plus belle et la plus cruelle femme du cirque : Natalia.
|