Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Ni à vendre, ni à louer):
"Ni à Vendre, ni à Louer est une histoire burlesque sans paroles que n'aurait pas renié Jacques Tati." Le Parisien
"Ni à Vendre, ni à Louer est construit sur le parti-paris (contestable) d'un scénario sans dialogues. Le film est ponctué d'onomatopées, de grognements et de soupirs." Avoir Alire
"Semé d'idées et de gags, ce film est habité par un souci de légèreté qui s'adapte aux situations les plus graves." Le Parisien
"Le film fonctionne par séquences autonomes concernant des personnages qui ne se rencontreront quasiment jamais. (...) Ni à Vendre, ni à Louer est plutôt inventif sous l'aspect strictement comique. Les acteurs se plient avec un certain bonheur à cet exercice imposé du retour au muet." Clap Mag
"Certaines scènes ne dépassent pas le niveau d'un sketch de Groland, d'autres, dans leur minimalisme même, dégagent une vraie poésie, une douce mélancolie." Telerama
"Ce qui manque dans Ni à Vendre, ni à Louer, c' est l' essentiel : la science du rythme, la précision du gag, le trait incisif des personnages, l' enchaînement irrésistible des situations." Le Monde
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Synopsis usuel:
C'est enfin le week-end, un week-end de printemps sur le littoral atlantique. Ce week-end-là, deux retraités se rendent dans leur résidence secondaire, une maisonnette aussi vaste qu’un timbre poste, et croisent un couple de punks ayant pour gîte une maison dessinée sur le sable d’une plage. Plus loin, deux imposteurs vêtus d’orange et de vert se mettent au golf non loin d’une procession funéraire. Au même moment, un représentant en parapluies a rendez-vous avec une maîtresse sado-maso dans un hôtel du bord de mer où séjournent deux couples dont l’existence sera chamboulée par un cerf-volant perdu. Il est aussi question d’étudiants des beaux arts, de voitures de sport, de voitures sans permis, de voitures de golf, de voitures volées, de caravane, de toile de tente, de lecteur de code-barres, de cadre photo décoré de coquillages et de tempête nocturne. Un week-end où les destins, les classes sociales, les générations, les sentiments, les douleurs comme les joies, se croisent. Un week-end à la mer, en somme.
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