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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Little Deaths):
"Tout à fait représentatif d'une certaine frange du cinéma horrifique britannique, minimaliste et dérangeante, Little Deaths propose trois sketches qui mélangent l'horreur la plus grotesque à une conscience sociale des plus oppressantes." Ecran Large "Fort de sa touche britannique, Little Deaths est aussi dérangeant qu'original, il ne laissera pas le spectateur de marbre, chaque segment le touchant à sa manière." Avenue de l'Horreur "Little Deaths explore les couloirs les plus sombres du vice et de l'addiction." Ecran Bis "Le premier montage du film a paniqué les producteurs, au point de charcuter les scènes les plus chocs (...) Bonne nouvelle : c'est cette version intégrale et non censurée qui se trouve éditée en France." Ecran Bis "Little Deaths réussit son pari de mettre mal à l'aise le spectateur. Les thèmes du sexe et de la mort sont toujours respectés et offrent un cocktail dérangeant et totalement barré dont on ressort choqué." Critique Films "Dans les trois films, il y a des personnages louches avec des dynamiques de pouvoir sexuel étranges." Spectacular Optical |
Synopsis usuel:
Little Deaths est une étude fascinante des manipulations émotionnelles et des différentes formes d’addiction, de la drogue à la dépendance affective. Mélange artistique d’idées transgressives et de visuels minimaux et réalistes des films indépendants britanniques, chaque segment est une assertion esthétique unique qui se nourrit et s’abreuve cependant de sa cohorte, pour former un tout d’une impressionnante cohésion. Le captivant « House and Home » de Hogan ouvre le film avec éclat, racontant l’histoire d’un couple de la haute classe britannique qui leurre des gens dans leur domicile afin de les humilier et de les abuser. Dans le segment d’Andrew Parkinson « Mutant Tool », les expérimentations déviantes d’un médecin recueillant le sperme d’un homme au sexe démesuré enchaîné dans sa cave pour en faire des pilules de drogue. L’héroïne, une ancienne prostituée tentant de combattre son addiction à la coke, fera les frais du traitement expérimental du fameux docteur. Dans « Bitch » de Simon Rumley, une administratrice de bureau exploitée règle ses problèmes en abusant son partenaire émotionnellement à travers une routine sexuelle dégradante. |
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