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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Le Grand Silence):
"Western crépusculaire à la lisière du fantastique, Le Grand Silence s'affirme comme un chef d'oeuvre intégral par sa radicalité formelle et thématique. Du très grand cinéma." Avoir Alire "A tous ceux qui pensent que le western « spaghetti » est un genre mineur, voilà une des réponses qui mettent clairement les choses au point, on est ici devant du très grand cinéma, du genre qui révolutionne les choses tout en mettant une grosse claque au spectateur, tant sur le fond que sur la forme." Film O Sphere "On retrouve tous les codes du western, qu'il soit américain ou italien, sauf que Corbucci va complètement les tordre pour livrer une oeuvre nihiliste au possible, d'une noirceur presque jamais vue..." Film O Sphere "Détruisant un à un tous les mythes fondateurs des Etats-Unis, Corbucci livre une réflexion acerbe sur l'être humain. Conçu comme foncièrement mauvais, celui-ci est décrit comme un prédateur sans foi ni loi, un condensé de fascisme uniquement intéressé par son profit personnel et résolument incapable d'altruisme." Avoir Alire "Le Grand Silence de l'italien Sergio Corbucci est parfois décrit comme étant l'un des meilleurs westerns-spaghetti. Il est en tout cas l'un des plus originaux, pas vraiment par son scénario mais plutôt par son absence de concession et son décor." L'Oeil sur l'Ecran "S'il existe des westerns désenchantés et nihilistes, Le Grand Silence en est l'un des mètres étalons. Rarement on aura vu autant de noirceur sur un écran. Une noirceur du propos qui tranche avec la blancheur de la neige du paysage ; c'est là une autre originalité du film : le climat." Dvd Classik "Le Grand Silence est un film à part dans le panorama du western italien." Il etait une fois le Cinema "Ici « l'ordre naturel » est bouleversé, le réalisateur semblant prêter plus d'attention au personnage de Tigrero (l'excentrique mais génial Klaus Kinski) qu'à son personnage principal. Tigrero a beau être un personnage violent et immoral, Corbucci nous le montre étonnamment calme, lucide même sur son statut de « méchant »." Il etait une fois le Cinema |
Synopsis usuel:
1898. A Snowvillage dans l'Utah, les chasseurs de primes traquent les hors la loi, souvent pour des petits méfaits mais l'appât du gain est grand. Les habitants sont hantés par ces hommes qui tuent sans relâche et installent à l'entrée du village une inscription en souvenir de ces pauvres et souvent jeunes garçons. |
Sortie ciné : 27 janvier 1969 Box office France: 569 297 entrées cinéma |
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