Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Dead Zone):
"L'interprétation hallucinante de Christopher Walken, la beauté des images, l'impact du drame psychologique si rare dans les productions de ce type et quelques scènes chocs font de Dead zone un film un poil surestimé, mais qui a tout d'un beau classique." Ed Wood
"Dead zone fait partie de ces petits films à l'égard desquels on nourrit des tas d'aprioris mais qu'on ne peut s'empêcher d'adorer dès la première vision." Cinema Fantastique
"L'histoire n'est pas de Cronenberg lui-même, mais est l'adaptation du roman de Stephen King. D'où le retrait des thèmes chers au réalisateur. Retrait des thèmes, mais pas du style. En effet, si il n'y a pas dans Dead zone de mutations corporelles, d'excroissances organiques, de débordements gores, il y a en revanche une atmosphère tenant à la fois des premiers films du réalisateur (la froideur esthétique : la neige, la sobriété de la photographie) et de ceux qui suivront (le pessimisme, la tristesse...)." Psycho Vision
"Dead zone s'apparente plus à un drame qu'à un film fantastique. En effet, le seul élément fantastique du film réside dans le don de prémonition de Johnny et ses effets. Il ne s'agit pas non plus d'un film d'horreur. On voit peu de sang dans le film. Et pourtant, ce film est un petit joyau du cinéma fantastique." Horreur.net
"Si Dead zone suit à la lettre la thématique obsessionnelle de Cronenberg, il s'autorise pourtant quelques concessions commerciales. Cette tentation "grand public" adoucit les aspérités de son oeuvre au risque de l'affadir." Avoir Alire
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Synopsis usuel:
Johnny Smith, jeune professeur dans une petite ville de province, est victime d'un accident de la route, peu de temps après avoir raccompagné sa fiancée, Sarah. Il ne revient à lui qu'au bout de cinq années de coma. Sarah est à présent mariée. Il s'aperçoit que passé, présent et futur se confondent dans son esprit. C'est ainsi qu'il réussit à sauver d'un incendie l'enfant de son infirmière et qu'il révèle à son médecin que sa mère, qu'il croyait morte en déportation, est en fait toujours vivante.
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