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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray The Ward - L'hôpital de la terreur):
"Les effets spéciaux sont excellents, sans faire dans le grotesque et l'histoire se tient parfaitement..." Cecile Duquesne "Je suis une habituée des films de ce genre et j'avoue avoir beaucoup aimé cette oeuvre ! Je fais encore partie de ces gens qui apprécient le « neuf fait avec du vieux » et c'est exactement le pari qui a été gagné avec The Ward..." Cecile Duquesne "John Carpenter accomplit sur ce film un bon travail de réalisation et le casting remplit très correctement sa tâche (avec une Amber Heard excellente ! )." Scifi-Universe "Carpenter signe un retour remarquable avec The Ward : une bobine délicieusement old-school et à l'image de son géniteur. Ce huit-clos intimiste, basé sur une histoire d'asile hanté plutôt efficace, est parfaitement maitrisé." Strange Movies "Dès ses premières images, Carpenter arrive à installer une atmosphère inquiétante. Mais après dix ans d'absence, on pouvait s'attendre à quelque chose de bien plus original et terrifiant de sa part." Cinema Fantastique "Le scénario n'offre aucune surprise, que ce soit d'un point de vue horrifique (les effets chocs sont efficaces, mais répétitifs) ou narratif (le final nous laisse une terrible impression de déjà-vu). L'approche pseudo psychanalytique est décevante, et rien ne réussit à maintenir notre intérêt pendant les brèves 88 minutes du film." Sinistre Mag |
Synopsis usuel:
En 1966, dans l’Oregon, Kristen est arrêtée par la police après avoir mis le feu à une ferme. Murée dans un état de stupeur, le corps couvert d’ecchymoses et incapable d’avoir le moindre souvenir de ce qu’il s’est passé, Kristen est enfermée dans un hôpital psychiatrique pour jeunes filles. Au sein de l’institution, les autres détenues : Emily, Sarah, Zoey et Iris, vivent toutes dans la terreur d’un fantôme qui aurait été vu la nuit dans les couloirs. Kristen, qui est bien décidée à s’échapper, n’y prête aucune attention mais va bientôt comprendre que la créature qui hante l’institution détient peut-être la clé pour comprendre son passé… |
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