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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray The King of New-York):
"The King of New York est un incroyable diamant noir d'une linéarité exemplaire, transpercé de part en part par la notion de rédemption et transcendé par l'interprétation habitée de Christopher Walken." Film de Culte "The King of New York est d'abord un documentaire sur le visage de Christopher Walken, acteur imbattable dans le registre du mort-vivant halluciné. C'est aussi un opéra funèbre et décadent qui nous entraîne dans un univers d'extrêmes, fait d'accès de violence et de fièvre sexuelle, de danses folles et de courses-poursuites avec la mort." Telerama "La mise en scène se révèle très performante, sèche et sans esbrouffe, sachant se sublimer lors de quelques scènes très impressionnantes (la fusillade dans le bar, la course-poursuite sous la pluie...). Le côté action est donc assuré, brillamment mais sans révolutionner un genre dominé par des films comme Scarface ou Le Parrain, auprès desquels le film est souvent mentionné." Tortilla Films "Etourdissante danse macabre, The King of New York ne laisse pas indifférent de par la violence qui s'en dégage. Qu'il s'agisse d'une des nombreuses scènes de meurtre ou des répliques elles aussi sans concession, King of New York prend aux tripes, c'est un un film véritablement viscéral." Ciné Critiques "Le personnage principal est cruel, calculateur, cynique, et use d'une violence crue face à ses ennemis, mais véhicule une ambiguitë : il est à la fois le pire des bandits, celui qui impose sa seule volonté, mais aussi paradoxalement le plus humain." Tortilla Films "Jamais plus que dans King of New York, Ferrara ne s'est interrogé avec pertinence sur le concept de justice. Le commencement de réponse qu'il apporte est un constat glacé : le bien et le mal, notions fondamentalement manichéennes, n'existent pas - ou plutôt ils n'existent pas comme valeurs morales." Critikat |
Synopsis usuel:
À sa sortie de prison, où il a passé cinq ans pour trafic de drogue, Frank White s'installe dans une suite du Plaza entouré de ses associés, ses hommes de main, son conseiller financier, son avocate et ses maîtresses. Il commence par faire supprimer quelques gros trafiquants colombiens par ses hommes Jimmy Jump, "Test Tube" et Lance, puis envoie Joey D., un émissaire, demander une entrevue à un caïd italien. Mais, celui-ci refuse et profère même des menaces. Frank s'invite alors, déclare que désormais tout, le jeu, la drogue, la prostitution, passe par lui et, comme l'autre se récrie, l'abat de ses propres mains... |
Sortie ciné : 18 juillet 1990 |
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