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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Kagemusha - l'ombre du guerrier):
"Kagemusha marqua le retour d'Akira Kurosawa au cinéma épique, et présente un équilibre idéal entre réalisme et perfection plastique." Les Inrocks "Finalement bien loin des films de sabres qui ont fait sa renommée, Kagemusha se rapproche surtout des grandes fresques à la David Lean où se mêlent considérations historiques et réflexions profonde sur l'âme humaine." Frenetic Arts "Kagemusha est construit et rythmé comme un opéra visuel, avec des scènes de bataille tirant tantôt sur le ballet d'ombres, tantôt sur le kitsch sanglant." Telerama "Cette oeuvre est parfaite à plusieurs égards : direction artistique, direction d'acteurs, montage, costumes, caméra, utilisation de la couleur. Kurosawa, après 25 films, a atteint un niveau inégalé au niveau de la réalisation. Trois heures de pure cinéma. Dégustez ! " 1001 Films "Kagemusha est un film admirable par la limpidité de sa structure (prologue, suivi de trois actes et d'un épilogue), mais qui n'est peut-être pas porté par le souffle épique de certaines autres oeuvres du cinéaste (on pensera en particulier aux Sept Samouraïs). Ce qui n'empêche en rien les scènes de guerre d'être remarquablement filmées." Il Etait une Fois le Cinema |
Synopsis usuel:
En 1573, le Japon est le théâtre de guerres incessantes entre clans rivaux. Le plus puissant de ces clans est commandé par Shingen Takeda. Au cours du siège du château de Noda, Takeda est blessé à mort par un tireur embusqué. Pour éviter que son clan perde de sa cohésion dans des luttes intestines, Shingen demande que sa mort reste cachée pendant trois ans. Un ancien voleur, épargné pour sa ressemblance avec le seigneur de la guerre, fait alors office de doublure avec la complicité des généraux, afin de duper leurs nombreux ennemis à l'affût. |
Sortie ciné : 24 juillet 2002 Box office France: 920 793 entrées cinéma Festival de Cannes 1980 : Palme d'Or. César 1981 : César du Meilleur film étranger. - - - - - Kagemusha a reçu la Palme d'Or au Festival de Cannes 1980. Et l'année suivante, il est récompensé par le César du Meilleur film étranger. Akira Kurosawa a connu des revers dans les années 70 au Japon : ces films ont été des bides commerciaux. Pour Kagemusha, fresque guerrière, il a obtenu un soutien financier outre-atlantique, grâce à deux admirateurs : George Lucas et Francis Ford Coppola, qui pour l'occasion ont aussi apporté eux-même les subsides complémentaires nécessaires à cette production de grande envergure. |
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