Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Les Lyonnais):
"Amitié, trahison et émotion. Le Gang des Lyonnais vu par Olivier Marchal, est une déclaration d'amour sans faille au genre du polar que l'ancien flic devenu cinéaste a dans la peau." Avoir Alire
"L'ex-policier Olivier Marchal s'essaie avec bonheur au film de gangsters romanesques. (...) Il mêle faits et fictions, osant le montage alterné entre deux époques (les années 70 et aujourd'hui)." Abus de Cine
"Les Lyonnais est un bon film de gangsters, très sombre, superbement interprété et qui confirme qu'Olivier Marchal sait créer des personnages iconiques comme personne en France." Films Actu
"Olivier Marchal a deux principaux atouts : bien connaître le milieu dont il parle (ce qui n'est par ailleurs guère rassurant quand on voit le portrait de la police qu'il fait ici ou dans ses autres films) et savoir habilement manier les codes du récit et du polar." In The Mood For Cinema
"Au-delà de la mise en scène acérée et dynamique d'Olivier Marchal, une mise en scène beaucoup plus chaleureuse que celle de ses précédents films, on se laisse porter par le jeu habité de ses comédiens, et on s'attache à cet homme, ce gangster généreux, authentique, ce parrain nous rappelant des personnages incarnés par Lino Ventura." Excessif
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Synopsis usuel:
De sa jeunesse passée dans la misère d’un camp de gitans, Edmond Vidal, dit Momon, a retenu le sens de la famille, une loyauté sans faille, et la fierté de ses origines. Il a surtout conservé l’amitié de Serge Suttel. L’ami d’enfance avec qui il a découvert la prison à cause d’un stupide vol de cerises. Avec lui, inexorablement il a plongé dans le Grand Banditisme, et connu l’apogée du GANG DES LYONNAIS, l’équipe qu’ils ont formée ensemble et qui a fait d’eux les plus célèbres braqueurs du début des années soixante dix. Leur irrésistible ascension prend fin en 1974, lors d’une arrestation spectaculaire. Aujourd’hui à l’approche de la soixantaine, Momon tente d’oublier cette période de sa vie. Sa rédemption, il l’a trouvée en se retirant des "affaires". En prenant soin de Janou, son épouse, qui a tant souffert à l’époque et de ses enfants et petits enfants, tous respectueux, devant cet homme aux valeurs simples et universelles, lucide et pétri d’humanité. A l’inverse de Serge Suttel, qui malgré le temps n’a rien renié de son itinéraire...
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