Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd 7 jours à la Havane):
"Tous les clichés y sont, mais les corps magnifiques, la facilité des contacts, la sensualité, et puis, évidemment la musique et encore la musique (...) tout cela donne franchement envie d'embarquer pour Cuba et de se rendre compte par soi-même ! " Regards critiques d'Henri Orhan
"À l'origine de ce film, il y a Leonardo Padura, l'un des romanciers cubains les plus connus à l'étranger. Il est l'auteur de quatre histoires sur les sept et a en intégré trois autres pour que se dégage une trame partiellement commune. En point de mire, la volonté de raconter la Havane dans sa diversité sans occulter l'imagerie touristique : la décrépitude ambiante, les belles voitures américaines, les cigares, le Che, les magnifiques filles au corps de rêve prêtes à tout pour quitter l'île..." Ecran Large
"Les films collectifs ont toujours la même faiblesse, celle de n'être qu'une addition de moyens métrages de qualité variable. (...) 7 Jours à la Havane est bancal, avec une poignée de courts formidables et d'autres beaucoup plus convenus, voire carrément ratés." Lci Tf1
"Mais pourquoi diable faire des films à sketches alors que tous sont des échecs artistiques et publics ? (...) Elia Suleiman et Gaspar Noé (avec un rituel vaudou moite et sensuel) amènent un peu de piment dans ce fade ragoût." Les Inrocks
"On croirait une production de l'Office du tourisme cubain. C'est dire si ce film à sketchs, réalisé par des cinéastes connus, ne vaut pas tripette. Fictions exotiques ou exploration soi-disant authentique de l'âme cubaine, peu importe : on baigne dans les stéréotypes." Telerama
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Synopsis usuel:
Instantané de la Havane d’aujourd’hui : un portrait contemporain d’une ville éclectique à travers un film composé de 7 chapitres réalisés par Benicio del Toro, Pablo Trapero, Julio Medem, Elia Suleiman, Gaspar Noé, Juan Carlos Tabío et Laurent Cantet. À travers leurs différentes sensibilités, origines et styles cinématographiques, ils ont saisi l’énergie et la vitalité qui rendent cette ville unique. Certains réalisateurs ont eu le désir de croiser la réalité cubaine en prise avec son quotidien, avec le regard d’étrangers loin de leurs repères. D’autres ont choisi l’immersion totale et se sont inspirés de la vie de la population locale. Chaque chapitre raconte une journée de la semaine, à travers le quotidien d’un personnage différent. Loin des clichés, ce film a pour vocation de faire résonner l’âme de cette ville hétéroclite au fil des quartiers, des ambiances, des générations et des cultures. Si les 7 histoires présentent des intrigues différentes, les réalisateurs ont accepté d’inscrire leur récit dans une trame partiellement commune et de lier les histoires entre elles, afin de créer une impression d’unité dramatique. Certains lieux de tournage, comme l’Hôtel Nacional ou le Malecon, apparaissent de façon récurrente au fil des chapitres. Certains personnages principaux et secondaires glissent d’un film à l’autre, connectant les histoires, de manière à montrer qu’à la Havane, toutes les couches sociales se croisent, se côtoient, parfois s’entremêlent...
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