Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray The Dictator):
"Le nouveau pamphlet de Sacha Baron Cohen est hilarant dans son mauvais goût total et sa savoureuse irrévérence..." Avoir Alire
"Sacha Baron Cohen revient dans le registre assez poussé de ses précédents films, avec horreurs débitées sur horreurs débitées d'une manière totalement assumée. L'humour est gras mais aussi extrêmement acerbe : tout le monde y passe, des dictateurs aux écolos, en passant par la démocratie..." Le Blog du Cinema
"Pour la première fois, le personnage imaginé par Sacha Baron Cohen n'est pas confronté à de vraies gens, dont les réactions outrées et furieuses décuplaient le rire, mais à des acteurs. Plus scénarisé que d'habitude, le film perd cette mise en danger masochiste qui rendait si provocatrices les outrances du cinéaste..." Telerama
"Sacha Baron Cohen est-il audacieux ou indécent ? L'hurluberlu a beau avoir ses fans, il faut tout de même faire preuve de beaucoup de légèreté pour rire de bon coeur devant le pire de l'humour scatologique, avec en paroxysme un accouchement improvisé dans une boutique bio qui tourne à la plaisanterie anale." Abus de Cine
"The Dictator, on le pressent, ne souffrira d'aucun procès ni d'aucune condamnation. Sacha Baron Cohen ne rééditera pas la crise diplomatique provoquée en 2006 par Borat, le plus célèbre – et féroce – avatar de l'humoriste. Son nouvel opus se réduit à une succession de sketches jamais écrits, jamais filmés (pas un embryon de mise en scène) et (...) Cohen, étourdi par son désir d'incorrection politique, ne sait jamais totalement où situer sa subversion (...) L'ensemble, épuisant, finit par résonner comme un long ricanement stérile." Les Inrocks
|
|
Synopsis usuel:
Isolée, mais riche en ressources pétrolières, la République du Wadiya, en Afrique du Nord, est dirigée d’une main de fer par l’Amiral Général Aladeen. Vouant une haine farouche à l’Occident, le dictateur a été nommé Leader Suprême à l’âge de 6 ans, après la mort prématurée de son père, tué dans un accident de chasse par 97 balles perdues et une grenade ! Depuis son accession au pouvoir absolu, Aladeen se fie aux conseils d’Oncle Tamir, à la fois Chef de la Police Secrète, Chef de la Sécurité et Pourvoyeur de Femmes. Malheureusement pour Aladeen et ses conseillers, les pays occidentaux commencent à s’intéresser de près à Wadiya et les Nations Unies ont fréquemment sanctionné le pays depuis une dizaine d’années. Pour autant, le dictateur n’est pas du tout disposé à autoriser l’accès de ses installations d’armes secrètes à un inspecteur du Conseil de Sécurité – sinon à quoi bon fabriquer des armes secrètes ? Mais lorsqu’un énième sosie du Leader Suprême est tué dans un attentat, Tamir parvient à convaincre Aladeen de se rendre à New York pour répondre aux questions de l’ONU. C’est ainsi que le dictateur, accompagné de Tamir et de ses plus proches conseillers, débarquent à New York, où ils reçoivent un accueil des plus tièdes. Il faut dire que la ville compte une importante communauté de réfugiés wadiyens qui rêvent de voir leur pays libéré du joug despotique d’Aladeen. Mais bien plus que des expatriés en colère, ce sont des sanctions qui attendent le dictateur dans la patrie de la liberté...
|