Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray De rouille et d'os):
"Jacques Audiard orchestre audacieusement la rencontre casse-gueule entre deux écorchés de la vie. Le duo antinomique Cotillard/Schoenaerts sublime le mélodrame comme rarement auparavant." Avoir Alire
"De Rouille et d'Os relate la rencontre entre deux êtres brisés par la vie qui, au contact l'un de l'autre, vont apprendre à se reconstruire. Cette belle histoire, simple d'apparence, aurait pu se transformer à l'écran en un drame social larmoyant. Mais entre les mains d'Audiard, expert dans l'art de percer les mystères de la nature humaine, il en est évidemment autrement." Abus de Cine
"Riche, complexe, bourré de pistes de réflexions, De Rouille et d'Os construit un univers animal pour mieux y insuffler le souffle de vie humain. De ces êtres broyés, littéralement détruits dans leur chair, il puise quelque chose de sublime, un idéal de mélodrame qui ne sombre ni dans le racolage, ni dans la facilité. Un chef d'oeuvre qui installe un peu plus Jacques Audiard sur le trône du cinéma français." Film O Sphere
"Jacques Audiard « a une écriture unique », a souligné le président du festival de Londres où De Rouille et d'Os a été primé meilleur film. « Il fait partie de ces rares cinéastes dans le monde capables de maîtriser tous les aspects de la création cinématographique pour donner naissance à De Rouille et d'Os, un film plein de violence et d'amour »." Lci Tf1
"Le plus séduisant, chez Jacques Audiard, c'est son audace. Son insolence tranquille. Les scènes les plus casse-gueule, il les affronte, il les impose : Ali porte dans ses bras Stéphanie jusqu'à la mer et la ramène sur ses épaules, moignons bien visibles, devant des vacanciers médusés. Sans oublier le moment, gênant et doux, où le fils d'Ali effleure à plusieurs reprises les prothèses de Stéphanie et lui demande, tout craintif, si « ça fait mal »... Tout cela est délicat, complexe, intense." Telerama
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Synopsis usuel:
Ça commence dans le Nord. Ali se retrouve avec Sam, 5 ans, sur les bras. C’est son fils, il le connaît à peine. Sans domicile, sans argent et sans amis, Ali trouve refuge chez sa soeur à Antibes. Là-bas, c’est tout de suite mieux, elle les héberge dans le garage de son pavillon, elle s’occupe du petit et il fait beau. À la suite d’une bagarre dans une boîte de nuit, son destin croise celui de Stéphanie. Il la ramène chez elle et lui laisse son téléphone. Il est pauvre ; elle est belle et pleine d’assurance. C’est une princesse. Tout les oppose. Stéphanie est dresseuse d’orques au Marineland. Il faudra que le spectacle tourne au drame pour qu’un coup de téléphone dans la nuit les réunisse à nouveau. Quand Ali la retrouve, la princesse est tassée dans un fauteuil roulant : elle a perdu ses jambes et pas mal d’illusions. Il va l’aider simplement, sans compassion, sans pitié. Elle va revivre…
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