Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Howl):
"Qu'est-ce qui choque dans Howl, le poème de Ginsberg ? Tout. La syntaxe. Les métaphores. Cette Amérique comparée à un démon (« Moloch ! Solitude ! Saleté ! Laideur ! Poubelles et dollars impossibles à obtenir ! Enfants hurlant sous les escaliers ! Garçons sanglotant sous les drapeaux ! Vieillards pleurant dans des parcs ! »). Et le sexe, bien sûr." Telerama
"Howl est une réussite visuelle. Entre interview imaginaire, lectures de poème en pellicule noir et blanc, reconstitution du procès et extraits de poème en images animées, les scènes s'entrecroisent et les mots s'entremêlent. Cet imbroglio savamment dosé de formes visuelles fait la force du film." Lci TF1
"Howl réussit à évoquer la souffrance poétique. (...) James Franco est désarmant de naturel introverti. (...) Les scènes de procès sont un vrai régal, chacun des témoin se ridiculisant à son tour face au bon sens et à la moindre réflexion sur la logique créative." Abus de Cine
"Cette biographie maladroite du poète beatnik Allen Ginsberg se perd dans des digressions esthétiques assez vaines ou des séquences d'animation très gênantes censées “illustrer” la poésie de Ginsberg." Les Inrocks
"Les séquences de procès exhibent une simplification outrancière du vieux conflit entre morale et littérature. L'alternance de scènes réelles et d'animations visuelles, pas forcément très réussies, aboutit par ailleurs à une contradiction : d'un côté, le poème est renvoyé à une pure fantasmagorie imaginaire ; de l'autre, avocats et accusateurs s'arrachent les cheveux pour passer au peigne fin le texte et démontrer par A + B qu'il a du sens." Avoir Alire
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Synopsis usuel:
San Francisco, 1956. Allen Ginsberg, un jeune écrivain s'apprête à publier le poème Howl. Il est alors loin d'imaginer que son œuvre, ambitieuse et révolutionnaire, est sur le point de déclencher un scandale retentissant et de donner naissance à l'un des mouvements les plus importants de la littérature américaine : la Beat Generation.
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