Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod Les Lignes de Wellington):
"Magnifique film de guerre et d'aventures en costumes, Les Lignes de Wellington rappelle ces films à grand spectacle de jadis, comme Les Trois Mousquetaires ou Le Capitan (...), avec un sens jamais pris en défaut du rythme, de l'équilibre des séquences intimes et collectives, du fourmillement de récits, tous menés avec clarté à leur terme." Les Inrocks
"Moins intéressé par la chronologie des événements de cette guerre que par la peinture des êtres humains qui la vivent ou la subissent, le scénario aborde l'attitude d'une dizaine de personnages, en temps de guerre, ainsi que la place de la femme." Abus de Cine
"Si le film affiche 2 heures 31 à la pendule, on se surprend à trouver cela presque trop court. Épique ! " Unification France
"Les Lignes de Wellington relate un épisode historique peu connu en France, un exil forcé de la population portugaise lors de l'invasion du Portugal par Napoléon Bonaparte." Guide Rapide
"Le film est une longue marche à travers le pays. De plus en plus captivante à mesure des kilomètres parcourus, parce que la progression géographique est aussi un voyage dans le temps, qui réveille des souvenirs et des manques, suscite la douleur de l'exil comme l'espérance d'un retour." Telerama
"Le film est d'une facture assez classique et parfois, se perd un peu dans des chemins de traverse." Les Echos - Art & Lifestyle
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Synopsis usuel:
Septembre 1810, les troupes de Napoléon Bonaparte envahissent le Portugal. Alliée aux Anglais, l'armée portugaise est dirigée par le Général Wellington. Celui-ci élabore une ingénieuse stratégie afin d'arrêter l'armée impériale et protéger Lisbonne : il ordonne un retrait des troupes en marche forcée, afin d'attirer l'ennemi à Torres Vedras, où il a fait construire en secret plusieurs lignes de fortifications infranchissables. Parallèlement, il organise une opération de terre brûlée entre le champ de bataille et Torres Vedras, destinée à priver les Français de tout approvisionnement local. Cette opération signifie l'évacuation des populations civiles, entraînant un gigantesque exode. C'est ainsi que se mettent en marche une masse de soldats et civils de tout rang et de tous âges, déjà usés par le quotidien de la guerre, qui progressent à travers les villages en ruines, les forêts incendiées et les cultures dévastées. Poursuivis par les troupes françaises, affamés et tourmentés par les intempéries, aristocrates, bourgeois, paysans, vagabonds, hommes, femmes et enfants, jeunes et vieux, avancent péniblement. Certains encore animés d'une volonté de résistance à l'ennemi, d'autres profitant de la confusion pour satisfaire les plus bas instincts, tous essayant de sauver leur peau.
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