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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Anastasia):
"Dans le registre « conte de fées moderne », Anastasia tient ses promesses avec éclat. (...) Don Bluth multiplie les séquences spectaculaires et invente des scènes d'action, façon Indiana Jones." Telerama "Don Bluth concilie dans Anastasia réalisme et féerie dans une romance musicale." Liberation "Toute l'ambiance générale du film respire l'authenticité de la touche Don Bluth : des décors très détaillés, diverses scènes intenses ou vraiment effrayantes (...). Les personnages bénéficient également d'une forte identité, et chacun d'entre eux possède une histoire propre très intelligemment intégrée au récit. L'autre caractéristique de la touche Don Bluth que l'on retrouve dans Anastasia, c'est dans le déroulement de son récit qui nous transporte d'un lieu à un autre pour un dépaysement garanti." Les Grands Classiques "Anastasia pâtit beaucoup d'une intrusion manifeste de la formule Disney. On y retrouve donc de nombreux clichés et emprunts rendant le film tout sauf unique. Ce qui explique cette énorme confusion du grand public considérant Anastasia tel un film Disney, ce qu'il n'a jamais été." Les Grands Classiques "Ici, toute ressemblance avec des personnages ayant existé - même si les auteurs ont eu l'aplomb de conserver leurs noms - frôle l'imposture. Difficile, en effet, d'avaler cette image de Raspoutine en grand sorcier d'heroïc fantasy, provoquant la révolution russe de 1917 pour se venger des Romanov ! " Telerama |
Synopsis usuel:
En Russie, au début du siècle, la famille royale est victime du maléfice du redoutable Raspoutine. Une terrible révolution embrase le pays. Un funeste sort s'abat ainsi sur les Romanov, à l'exception d'Anastasia et de sa grand-mère l'Impératrice Marie. Séparée de sa seule famille, la jeune fille devenue amnésique, est recueillie par un orphelinat qui la rebaptise Anya. Dix ans plus tard, elle va tenter de retrouver ses véritables origines. Sa quête va la mener de St Petersbourg à Paris. Mais Raspoutine, sorti des enfers, va tout faire pour éliminer l'ultime descendance des Romanov. |
Sortie ciné : 4 février 1998 Box office France: 2 782 019 entrées cinéma Don Bluth a quitté Disney en 1979, déplorant la baisse de qualité des derniers métrages de la firme. Il a voulu conserver l'esprit originel des Disney. |
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