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vod
dvd
Le film est sorti en vod mais le Guide Rapide n'a pas encore établi de lien vers les fiches de film des sites vod concernés. |
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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd La Troisieme Partie de la nuit):
"Le film figure une véritable altération physique et mentale, transformant cette anecdote de l'histoire en un gigantesque labyrinthe où se pose nombre de questions existentielles sur la culpabilité. Un dédale absolument fascinant et unique." Culturopoing "Zulawski ne s'attarde pas vraiment sur le récit et préfère privilégier la description d'une atmosphère délétère, macabre, paranoïaque, quasi-expressionniste, multipliant les zones d'ombre et de lumière (comme les expressionnistes allemands) qui emmènent le spectateur dans un univers onirique angoissant, aux confins du cauchemar." Les déjantés du Cine "Ce premier long métrage de Zulawski, présenté et primé à Venise, a obtienu un très grand succès en Pologne et remporté le Prix Andrzej Munk." Cine Club de Caen "La Troisieme Partie de la Nuit contient déjà les éléments qui caractérisent la période polonaise du cinéaste, en premier lieu la passion amoureuse exacerbée, qui mène à la folie, une forte présence de la religion (...) et bien sûr des dialogues très littéraires." echo62 "Ce film et plus généralement le « style Zulawski » sont tout de même loin de faire l'unanimité et peuvent aussi bien s'avérer prodigieusement ennuyeux... à vous de voir." echo62 |
Synopsis usuel:
Cracovie, 1940. Michal, dont la femme et la fille ont été tuées par les Allemands sous ses yeux, s’engage dans la résistance. Poursuivi, il se réfugie chez Martha, qui ressemble étrangement à sa femme, et dont le mari vient d’être arrêté... Il l’aide à accoucher, puis prend soin d’elle et de son enfant. Pour gagner de l’argent, il doit vendre son sang pour nourrir les poux dans un laboratoire de vaccin. Mais son passé semble de plus en plus s’immiscer dans le présent, comme s’il était un miroir entre deux mondes... |
Le réalisateur Zulawski vu par Culturopoing : "Andrzej Żuławski fait partie de ces metteurs en scène qui ont beaucoup défrayés la critique dans les années 70 et 80, surtout depuis son échappée en France avec L'Important c'est d'Aimer. Admirateurs et détracteurs s'affrontaient avec virulence pour discuter sa liberté créatrice, et surtout les moyens employés. Pouvait-on tout faire pour faire ressentir une émotion radicale au spectateur ? Entre hystérie et morale de l'image bafouée, au moins son cinéma appelle t-il à la discussion. Aujourd'hui il a quelque peu perdu de son prestige, de par le long cycle « Sophie Marceau » qui n'emballa pas forcément loin s'en faut tous les défenseurs de l'auteur de Possession." Culturopoing |
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