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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Nowhere):
"Nowhere, c'est un peu la série télévisée Beverly Hills sous acide, déjanté, délirant, et infiniment drôle. Les séries américaines sont donc complétement tournées en dérision, autant que les représentations traditionnelles de l'adolescence." Le Fil du Regard "Le film relate les déambulations, distractions, papotages et micro-intrigues amoureuses d'un groupe d'adolescents décadents." Les Inrocks "L‘univers pré-apocalyptique de Gregg Araki envahit l‘espace de Nowhere à chaque instant. Araki nous montre Los Angeles comme un dépotoir géant où la luxure et tous les vices coexistent au vu et au su de chacun. Personne n'y fait rien, (...), les parents sont shootés à la télé et les enfants shootés tout court. (...). Chronique d‘un monde désabusé, Nowhere enterre donc le schéma parfait qui n'existe que dans les séries télés bon marché. Et pour ce faire, Araki utilise pas mal de leurs codes : des acteurs beaux qu'on croirait sortis de magazines, une ambiance pop, des dialogues qui friseraient le ridicule s'ils n'étaient pas du second degré." Mulderville "L'univers de Nowhere aux apparences outrageusement ludiques et bariolées reprend certaines données esthétiques des années 60 en les poussant au comble de leur artificialité, donc de leur vacuité absolue. Un nihilisme allègre bercé par une bande-son “inrockuptible”, des Chemical Brothers à Sonic Youth en passant par Radiohead. (...) Le constat d'Araki sur le vide mental et spirituel de cette catégorie de la population de la Côte Ouest est empreint d'une certaine euphorie, naturellement liée à une stimulation chimique forcenée." Les Inrocks "On note la présence surprise de Chiara Mastroianni dans ce film, actrice française qu'on attendait pas forcément ici." Guide Rapide "Rétrospectivement, Nowhere apparaît bien sage : ses images criardes présentant une faune effervescente (psychopathes roulant de grands yeux, sadomasochistes confirmés, gang féministe, ados sous extasy, éphèbes transformés en aliens), pour pittoresques qu'elles soient, semblent former un brouillon de film d'avant-garde, noyé dans la complaisance publicitaire et le jeunisme (du Luc Besson en série Z en quelque sorte...). Le pavé dans la mare se transforme alors en coup d'épée dans l'eau, comme si le réalisateur ne parvenait pas à dépasser le stade de la fausse provocation kitsch." Avoir Alire "Gregg Araki n'a qu'une idée. Pas trois, pas deux ; une : la jeunesse californienne va mal. C'est la doom generation qui se shoote à l'extase et à l'ecstasy, sur fond de musique alternative. Avec ce thème, certains réussiraient des chefs-d'oeuvre. Araki, lui, aligne une mosaïque de zombies (...). C'est d'une insignifiance qui frôle l'inexistence." Telerama |
Synopsis usuel:
Nowhere est une version surréelle et hyper-saturée de la série Beverly Hills revue et corrigée sous acide. Voici un voyage dans la journée de Dark Smith, 18 ans, entraîné par ses amis dans la débauche, est hanté par la fin du monde et la quête de l’amour pur. Cache-cache sous ecsta, métamorphose, hypnose Télévangéliste, viol, enlèvement par les aliens, le tout propulsé dans la plus barge des « party »... |
Sortie ciné : 17 septembre 1997 Box office France: 50 002 entrées cinéma |
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