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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Glissements progressifs du plaisir):
"Alain Robbe-Grillet, père du Nouveau Roman (la mère étant Nathalie Sarraute), s'ingénie à déconstruire le récit de ce film au maximum." Le Film du Jour "« Dans Glissements Progressifs du Plaisir, Robbe-Grillet met cause le récit réaliste et propose au spectateur de nouvelles logiques d'agencement des images et du son », nous apprennent Bernard Rapp et Jean-Claude Lamy dans leur Dictionnaire des films." Le Film du Jour "Le réalisateur a l'envie de se confronter avec l'idée d'une narration en charpie." Salon Litteraire "Michel Lonsdale et Jean Martin promènent leurs trognes hallucinées, trainent leurs voix étranges et glaçantes. Et surtout, Anicée Alvina marque le film de la sienne, envoûtante, mystérieusement un peu infantile, légère et sucrée. Quand elle déclare avec un ton soudain volontaire : "on va la torturer et la violer ! ", cette voix toute jeune fait éclater un contraste presque comique, dérangeant." Alligatographe "Glissements Progressifs du Plaisir semble s'attaquer de manière assez frontale aux hypocrisies liées à la sexualité et en premier lieu à celle des religieux. Mais la critique manque ici de finesse et surtout d'humour. Les gros sabots que chausse le cinéaste sont très vite pesants. Et quand Michel Lonsdale balance à Anicée Alvina : "vous commencez à m'emmerder avec vos histoires ! ", j'ai tout de suite pensé "bienvenue au club ! " Et le film ne faisait que commencer." Alligatographe "Alain Robbe-Grillet pimente généralement ses films d'un érotisme qui flirte souvent avec l'univers sadien... Ca peut aider à faire passer la chose..." Le Film du Jour |
Synopsis usuel:
Une jeune fille est suspectée du meurtre de son amie, une femme plus âgée avec laquelle elle entretenait une relation pervertie. Placée dans une maison de redressement tenue par des religieuses, elle reçoit la visite d'un magistrat, d'un pasteur, ainsi que d'une jeune avocate qui ressemble étrangement à son amie défunte. Pourvue d'une imagination fertile, la jeune fille mélange ses rêveries d'enfant à une sensualité déjà très consciente. Elle se plaint de sévices, de punitions corporelles dans des cachots souterrains, opérant sur les adultes qui l'approchent une modification sournoise de l'esprit comme de la chair... |
Sortie ciné : 7 mars 1974 |
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